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  • Reportage culture Vins Vititiculture




Ouvert depuis la fin février, le nouveau domaine viticole Jas Monges situé près du Mas de Cadenet, propose depuis tout l'été des animations une fois par semaine avec son concept : " UN VERRE DE VIN DANS LES VIGNES " qui est l'addition de beaucoup d'ingrédients : un verre de Vin + couché de soleil + Ste Victoire + foodtruck + des copains. Les prochaines dates sont au passage les 11, 17, 25 et 30 aout dès 18h30 (réservations conseillées).

Le domaine a passé un cap ce jeudi 3 Août en organisant sa toute première soirée concert avec des artistes ayant une petite renommée dans la région qui seront présentés par l'association Poète vos papiers. Ue association qui avait déjà donné un concert à succès au printemps hommage à Reggiani et en donnera un second cet automne au casino cinéma hommage à Barbara cette fois.

Ce rendez vous musical autour de la chanson Française ce jeudi a ainsi accueilli : "Le Bistrot préféré de Giselle" , un concert qui a repris les titres de Jacques Brel, Renaud, Gainsbourg, Mouloudji, Charles Trenet, Boris Vian ou encore Georges Brassens…. façon jazzy ! A la voix la chanteuse Marja Jolivet au piano, Marco Mazoti à la contrebasse et Thierry Andréo à la guitare."

Une première soirée qui a reçu un beau succès avec 180 personnes (à 10€ spectacle et un verre de vin) dans une ambiance sympathique, avec foodtruck et en bonus un très beau coucher de soleil















Photos A. DU.



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  • Séniors municipalité



En cette année 2023, la maison de retraite RESIDENCE SAINT JEAN DU PUY, construite en 1978 (voir article ici) célèbre déjà ses 45 ans, elle qui s'appelait à sa création La maison du soleil... Une maison composée de 79 logements, qui sera agrandie avec une aile supplémentaire : une maison médicalisée EHPAD "Le Patio de St Jean", située juste en dessous, qui a ouvert ses portes en février 2014.

Un anniversaire qui s'est aussi soldé par un changement de direction, puisque le 30 juin dernier, la directrice de l'établissement depuis plus de vingt ans, Muriel Gimenez, est partie à la retraite lors d'une grande fête en présence du maire Pascal Chauvin et des résidents de l'établissement. Cadeaux, musiques, surprises, chansons étaient ainsi au menu de l'après midi.

"J'ai vraiment apprécié tous les bons moments que l'on a passé ensemble, mais j'ai envie désormais de profiter de mon mari, de ma famille , je ne regrette rien de ce que j'ai fait ici, j'ai donné beaucoup de mon temps ici comme vous le savez, j'ai essayé d'être présente pour chacun. S'il y a quelque chose que je retiendrai c'est d'avoir profité de chaque moment ici. Ce qu'il y a à retenir c'est la qualité des échanges avec les gens. J'ai passé des moments fabuleux ici et je n'en garderai que le meilleur." dira t'elle cet après midi là, se disant très touchée des surprises concoctées par le personnel et les résidents. Elle aura connu trois maires Roger Tassy, Jean Claude Feraud et Pascal Chauvin, l'agrandissement donc de la résidence avec ses travaux & soucis puis la grande pandémie de coronavirus et les moments difficiles qu'il aura fallu gérer. On notera au passage qu'à chaque évènement elle n'hésitait pas à se déguiser comme ses employés !

Pascal Chauvin le maire, qu'elle côtoie depuis trois ans dira que ce fut un plaisir de l'avoir comme interlocutrice, de pouvoir s'appuyer sur elle, mesurant la charge des fonctions qu'elle a eu surtout ces dernières années et la remerciera au nom de la ville et des résidents pour le travail qu'elle a effectué. "Depuis des années j'ai du me battre contre 13 Habitat (qui gère l'établissement), me battre contre des moulins à vent et depuis que vous êtes là je me suis soutenue, que vous essayez de tout faire pour nous soutenir, merci à la mairie et merci à vous" lui répondra alors la directrice.

Mme Gimenez est désormais remplacée par Madame Maëva Vaussanvin, nouvelle directrice de l'établissement. Son adjointe est Madame Audrey Saladino.

Photo de la cérémonie : Mairie de TRETS



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  • Faits divers Aux alentours



Les habitants de Peynier ont du être surpris ce mercredi après midi 2 aout 2023 peu après 15h en voyant de nombreux moyens de secours déployés dans l'avenue principale de Peynier, près du chateau.

Les sapeurs pompiers, une ambulance du samu et la grande échelle des pompiers déployée ainsi qu'un hélicoptère du samu étaient en effet présents.

Heureusement rien de grave, juste une personne qui a fait une mauvaise chute dans les escaliers de son immeuble et pour faciliter son brancardage, la grande échelle a été appelée pour évacuer la personne plus facilement, précise t'on.







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  • Municipalité Interview Urbanisme



L'urbanisme est décidément un sujet qui fait énormément parler dans cette mandature à chaque conseil municipal. C'est donc tout naturellement que Trets au coeur de la Provence avait interrogé l'opposition et son groupe Trets avec vous, sur ce sujet dans l'interview de mi mandat.


Des propos qui ont fait réagir Jean-Christophe SOLA 4ème adjoint au Maire Délégué à l’Urbanisme, au Logement, et à l’Aménagement du Territoire. Dans une très longue réponse, extrêmement détaillée, il explique la politique d'urbanisme de la municipalité, les raisons, et répond aux propos de l'opposition. Bonne lecture
Ainsi comme chaque fois, chaque tretsois peut se faire son propre avis avec les deux versions.



DROIT DE REPONSE – INTERVIEW DE L’OPPOSITION PARTIE 2 DANS TRETS ACTUS LE 01/08/2023
Dans la partie deux de l’interview du groupe d’opposition composé de Stéphanie Fayolle, Marie Bonamy, Corinne Tomasini et Michel Matty, il a beaucoup été question d’urbanisme, notamment le projet Cassin.

J’ai retrouvé là les mêmes arguments que ceux qui nous sont régulièrement assénés en conseil municipal.

Ces sujets peuvent très rapidement exacerber les tensions et les incompréhensions et c’est en conséquence qu’il m’a paru judicieux d’apporter réponses et précisions aux propos souvent infondés tenus par trois des membres du groupe d’opposition de gauche.

I- INTRODUCTION

En préambule, il me semble opportun de rappeler que nous avons été élus en juin 2020 et que nous avons pris la commune avec les conséquences qu’ont emportées les décisions des précédentes municipalités. Tout n’a pas été mal fait, mal pensé, mais tout n’a pas été bien fait et bien pensé non plus.
Aussi, quand nous sommes arrivés aux manettes de la commune, avec notre Maire, Pascal Chauvin, nous avons immédiatement travaillé sur les sujets d’urbanisme.
D’ores et déjà, nous avions pu poser un diagnostic lors de la campagne électorale, et celui-ci nous a permis d’orienter nos réflexions et les décisions qui en ont découlé depuis notre élection.

La première des choses a été d’analyser les statistiques de l’INSEE, les statistiques du CCAS, le PLU actuel et documents annexes :

1- Evolution du nombre d’habitants et composition
2- Taille moyenne des ménages
3- Revenus médian des ménages
4- Ancienneté du parc immobilier et composition
5- Prix de l’immobilier
6- Nombre de demandes de logements sociaux et de bénéficiaires potentiels.
7- Disponibilité du parc locatif et prix au m² en location
8- Possibilité de construction du PLU



Ce qui nous a frappé :

1- La population a diminué ces dernières années en perdant en moyenne 0,66% de sa population totale chaque année entre 2013 à 2019.
2- La taille moyenne des ménages diminue également passant de 2,78 personnes par ménage en 2000 à 2,25 personnes par ménage en 2020, soit une diminution moyenne de 19% quand la diminution de la taille moyenne des ménages de l’ensemble du Pays d’Aix n’est que de 11% sur la même période.
3- Le revenu médian de Trets est supérieur à celui de l’aire métropolitaine. Il est en effet de 23.690€ quand celui de la métropole est de 21.480€.
4- Le parc immobilier est vieillissant et il y a eu peu de construction neuve de 2007 à aujourd’hui. Plus de 86% des logements de notre commune ont été construits avant 2006 et seulement 54 logements par an ont été construits entre 2016 et 2020 !

5- Les prix de l’immobilier à Trets sont et restent inférieurs aux prix de l’immobilier des autres communes du Pays d’Aix. En effet, les prix moyens dans les autres communes sont supérieurs à ceux de Trets de 10 à 30%. Toutefois, ces derniers ont flambé suite à la crise du Covid 19. Aujourd’hui les prix au m² sont très disparates en fonction de la situation géographique des logements ainsi que leur état.
6- Le taux de propriétaire est de 59,5 %

7- Entre 350 et 400 demandes de logements sociaux sont actuellement en souffrance sur la commune, y compris demandes de mobilité et 65% de la population est éligible.
8- Les demandes sont de 35,4% pour les T2 et 37,9% pour les T3, soit 73,3% de demande de petits logements inexistants sur la commune.

9- Il y a très peu de location et le prix au m² s’établit à environ 13 €/m², soit peu ou prou l’équivalent du plafond de loyer du logement intermédiaire.
10- Le PLU est parfois très permissif en termes de densification avec par exemple la zone UD qui n’intègre aucune limitation en termes d’emprise au sol. Toutefois la hauteur est limitée à 7m à l’égout du toit, soit l’équivalent de la hauteur d’une maison en R+1. Il est aussi parfois très limitatif puisqu’il rend impossible le détachement parcellaire pour des propriétés en zones urbanisées mais classées à tort en zone N. Cela limite notamment la possibilité pour ces propriétaires de faire construire des maisons pour leurs enfants notamment.


Notre diagnostic a donc été le suivant :

1- La commune n’a pas assez construit pour permettre à la population de rester à Trets conséquemment au phénomène constaté à l’échelle nationale de décohabitation (divorce, célibat, perte d’autonomie, adaptation en faveur des personnes à mobilité réduite, etc…)
2- Il y a un manque cruel de logements de type 2 et de type 3 à la vente comme à la location pour permettre à chacun de démarrer ou de poursuivre son parcours résidentiel sur notre commune entrainant ainsi un départ de nos administrés vers d’autres communes.
3- Le nombre de logements locatifs classiques ou sociaux n’est pas suffisant pour permettre à chacun de se loger.
4- Enfin, la pénurie de logements accentue la tendance haussière à la fois des loyers et des prix d’achat des logements, tout comme la pénurie des terrains à bâtir accentue la hausse de leurs prix et la réduction des tailles de terrain proposée pour construire une maison.
5- Le PLU doit être rectifié pour permettre de garder les descendants de nos familles tretsoises, favoriser l’installation de nos jeunes en libérant le foncier souvent trop grand bien qu’urbanisé.

Ce qu’il faut surtout, c’est rouvrir le champ des possibles sur notre territoire et éviter de devenir une ville dortoir comme tant d’autres.

En outre le paramètre financier reste un paramètre important quand l’on gère une commune. Ainsi, nous pouvons dire que :

1- Notre pénalité SRU pour carence en logements sociaux est de l’ordre de 300.000 € par an et grève le budget communal dans la section fonctionnement.

2- La plus grosse ressource de la commune est la taxe foncière supportée par les seuls propriétaires, la taxe d’habitation ayant été supprimée, et compensée seulement de façon partielle. L’augmentation des impôts n’est pour nous pas une option envisageable.

3- Le niveau de services de la commune est élevé et a un coût conséquent. L’accroissement du nombre de logements génèrerait de nouvelles recettes qui permettraient une amélioration de l’équipement, de leur entretien et la démultiplication des services.

Enfin, nous considérons que pour maintenir les commerces de centre-ville, redynamiser, permettre à de nouveaux commerces de s’installer, il faut assurer le niveau de clientèle et même l’accroître.

Croire que les petits commerces vont arriver à survivre avec une population qui diminue est une douce illusion !

Il en va de même pour le maintien de nos classes dans les écoles, de l’amélioration de nos équipements sportifs, du développement du tissu associatif et plus généralement du développement du tissu économique et social.

Trets fait partie de la Métropole Aix Marseille Provence. A ce titre, elle peut bénéficier de financements par voie de subventions, et d’interventions de la métropole qui a récupéré quelques compétences à bien des égards.
Sans entrer dans le débat relatif à l’intérêt de cette métropole, penser là-encore que les subventions se débloqueront par magie malgré une population qui diminue est là encore une illusion que nous ne pouvons pas cautionner.

Tout est finalement question d’attractivité !


II- LA ZAC CASSIN
Venons-en désormais au sujet qui crispe les tensions entre l’opposition et notre majorité en rappelant notamment quelques dates et paramètres du projet depuis son initiation :

Tout d’abord il convient de noter que la commune a délégué la maîtrise d’ouvrage à la SPLA.

Le montage du projet ne prévoyait pas la maîtrise foncière de l’ensemble du tènement foncier, c’est-à-dire l’acquisition des fonciers privés en vue de la réalisation des différentes constructions. Seules les parcelles à vocation d’espaces publics ont été ou seront rachetées. L’équilibre financier de l’opération est prévu ainsi depuis l’initiation de l’opération.

- 19/11/2014 : Lancement procédure de ZAC
- 06/11/2015 : Approbation du dossier de création de ZAC
- 06/06/2017 : Approbation du dossier de réalisation de ZAC – La participation communale votée en conseil municipal s’élève à 2.200.000 €
- 2020 :
o La commune a d’ores et déjà versé 1.200.000 € de participation.

o Etonnamment l’avenue Cassin a d’ores et déjà été réalisée alors même que l’opération restait hypothétique à ce stade.
o Un travail important est lancé par la nouvelle municipalité afin de trouver un équilibre financier et un projet mieux calibré tant d’un point de vue urbanisme que d’un point de vue financier


- 2021 :
o Obtention des accords des colotis pour la modification du règlement de l’ancien lotissement industriel et mise en conformité avec le PLU – Ce paramètre était indispensable pour pouvoir mener à terme l’opération d’aménagement. Il est même assez étonnant voire inquiétant de constater que des fonds conséquents des tretsois aient été versés et que des travaux aient été exécutés avant même la sécurisation juridique du projet et en conséquence la sécurisation des recettes, à savoir les différentes participations de ZAC !


o Délivrance des premiers permis de construire
- 2022 :
o Obtention d’une subvention Fonds Friche de plus de 500.000 € pour la réalisation du parc


o Dossier de réalisation de ZAC modificatif :
 Intégration de la salle de la cascade dans le lot n°8 qui a permis de gagner 800 m² de surface de plancher, et une intégration urbaine du futur immeuble plus adaptée.
La salle de la cascade a été vendue par la commune au prix de 500.000 €.
 En outre, l’intégration de la salle de la cascade dans le lot 8 a permis d’obtenir environ 200.000 € de participation de ZAC supplémentaire


 Augmentation de la surface de plancher des autres lots « habitation » de la ZAC : Le projet initial prévoyait que les immeubles de logements auraient les deux niveaux supérieurs en retrait. Le RDC et le R+1 étaient alignés en façade, et le R+2 et R+3 étaient en retrait par rapport aux étages inférieurs mais alignés entre eux. Désormais le R+2 est aligné avec les étages inférieurs, seul le R+3 se retrouve en retrait par rapport aux étages inférieurs. Cela a permis de gagner 10% de surface de plancher et en conséquence des participations supplémentaires sans augmenter l’emprise au sol et l’imperméabilisation des sols.

 Le Lot 6 devient un projet d’hôtel/ restaurant et parking public sous-terrain afin de tenir compte de la carence de la commune en hébergement de tourisme et de la problématique de stationnement
 Le nombre de stationnements du projet est revu à la hausse afin de tenir compte de la difficulté de stationnement sur le secteur. Ainsi le nombre de stationnements du parking de la ferme est maintenu à son niveau initial (il devait diminuer dans le dossier initial), un nouveau parking est prévu entre le lot 6 et le lot 5.

 Intégration du macro-lot 9 afin d’y ériger l’étude notariale de Trets. Il est à noter que le dossier de réalisation de ZAC modificatif sur ce point était d’ores et déjà prêt puisque ce projet était validé par l’ancienne municipalité. En outre cette portion de terrain appartient au pétitionnaire et n’était en rien maîtrisé par la SPLA. Le nouveau positionnement de l’étude notariale de notre commune permettra une meilleure accessibilité.
 Suppression de voies piétonnes internes superflues entre les bâtiments. Action de compensation de l’imperméabilisation du lot n°9.
 Création d’une voie cyclable le long de l’avenue Cassin.

 Modification du projet du parc :
• Acquisition de la parcelle du département en bordure de la départementale au droit de l’avenue Léo Lagrange et rond-point pour en faire l’accès principal du parc. Prévision d’un accès carrossable pour entretien et logistique, création de WC public.
• Clôtures de l’ensemble du parc avec contrôle d’accès,
• Modification du bassin de rétention qui était initialement clôturé en intégralité. Désormais il est paysager et accessible par temps sec,
• Redimensionnement des fossés des eaux pluviales et obtention des accords du CD13.
• Equipement du théâtre de verdure pour accueillir des spectacles,
• Jeux d’enfant
• Modification des merlons afin de protéger des vues et autres nuisances les riverains.



III- REPONSES AUX REMARQUES ET OBSERVATIONS DU GROUPE D’OPPOSITION

Après toutes ces précisions importantes, je vais m’atteler à répondre à chacune des remarques et observations de Stéphanie Fayolle, Marie Bonnamy et Michel Matty.
Ils ont à mon sens usé dans leurs discours de beaucoup de démagogie, de légèreté, d’approximations et d’idéologies mortifères.

Gérer une commune c’est aussi savoir faire preuve de pragmatisme en ayant une bonne connaissance des sujets et en tenant compte de leur transversalité.

- Pour Stéphanie Fayolle :
o « Le projet présenté à l’époque était une amorce, des prémices. »


Réponse :
Faux, je rappelais plus haut que le dossier de réalisation a été voté en 2017 et comprenait les gabarits de construction, leur volume, la description de l’intégralité du projet avant modification, les participations etc. Stéphanie Fayolle était alors élue de l’opposition et participait au Conseil municipal. Elle s’est simplement abstenue.




o « Les certificats d’urbanisme datent de 2021, c’est donc le projet de l’actuelle municipalité. »
Réponse :
Tout d’abord il s’agit de permis de construire et non de certificats d’urbanisme.

Ensuite, je rappelle que nous sommes dans un Etat de droit, nous n’étions pas en capacité de bloquer l’instruction des demandes qui s’appuyaient sur le dossier de réalisation de ZAC.
Les opérateurs qui ont obtenu les permis de construire sont pour la plupart sous promesse de vente avec les propriétaires fonciers depuis bien avant notre arrivée à la tête de la commune.
Nous avons toutefois revu les différentes contraintes de la ZAC ainsi que son équilibre financier avant de délivrer les permis de construire.
Eu égard à notre diagnostic, il n’y avait aucune raison de mettre un terme au projet et de faire perdre aux tretsois des sommes colossales.



o « Accroissement du nombre de logements et pas que sociaux. En effet, pour elle, ce sont les promoteurs qui en bénéficient et font de la spéculation immobilière. »

Réponse :
1- Le nombre prévisionnel de logements est passé de 500 à 550 par l’effet de la correction de l’architecture qui prévoyait initialement les R+2 et R+3 en retrait par rapport au RDC et R+1. En alignant le R+2 aux étages inférieurs la surface de plancher a augmenté de 10% et en conséquence le nombre de logements. Sur ces 50 logements supplémentaires, il y aura 15 logements sociaux, soit 30%.

En outre, initialement, seuls 25% des logements étaient des logements locatifs sociaux. Depuis l’arrêté préfectoral de carence de 2017 résultante de la politique menée sous les précédentes mandatures depuis 2000 année de la loi SRU, la loi impose 30% de LLS pour tous les projets sur le territoire communal dépassant 800 m² ou 12 logements.
Enfin, je rappelle que les opérations de logements sont constituées de 80% de logements de T2 et Type 3. Dès lors, analyser le nombre de logements sans tenir compte de la composition des ménages qui vont y vivre relève tout simplement de l’erreur d’appréciation voire de démagogie.



2- En ce qui concerne la spéculation immobilière, Stéphanie Fayolle s’attaque une fois de plus aux promoteurs sans fondement.

Définition de spéculation : « Opération financière ou commerciale fondée sur les fluctuations du marché ; pratique de ces opérations. »
La construction de logements neuf est tout sauf de la spéculation. Elle est bien ancrée dans l’économie réelle au même titre que toutes les autres industries ou tous autres commerces, notamment parce que le logement constitue un bien essentiel et indispensable à notre condition d’humain.
Si les prix suivent évidemment les prix de marché, les promoteurs immobiliers sont dépendants de paramètres intangibles que sont le coût de l’acquisition du foncier, le coût des études et prestataires intellectuels, le coût des taxes, le coût des assurances, le coût des frais financiers, le coût des frais de commercialisation, le coût de construction qui n’a cessé d’augmenter par rapport à l’accroissement des contraintes normatives pour tenir compte des personnes à mobilité réduite, de l’amélioration thermique des logements, de l’amélioration de leur empreinte carbone, dernièrement de l’inflation, et enfin des exigences de la clientèle.
En outre, plus la demande est forte et l’offre faible, plus la tendance haussière va s’accentuer par l’effet de la concurrence sur les prix de foncier essentiellement.

Par ailleurs :
• Sait-elle que 70% de la production de logements sociaux en région PACA est assurée par les promoteurs immobiliers ?
• Sait-elle que les logements sociaux sont achetés en VEFA par les bailleurs institutionnels à des prix qui ne couvrent pas le prix de revient de la construction, et que par cet effet depuis l’obligation d’intégrer une part sociale dans chaque opération, ce sont les prix des logements libres qui ont été augmentés pour absorber la perte générée par le social ?
• Sait-elle que les prix des logements neufs intègrent une TVA à 20% contrairement aux logements anciens ?
• Sait-elle que la construction d’un logement correspond à 2 emplois non délocalisables ?
• Sait-elle que le prix du foncier représente entre 25% et 35% du prix de revient d’une opération ?
• Sait-elle que la marge du promoteur s’établit aujourd’hui le plus souvent et dans le meilleur des cas aux alentours de 4 à 5% du chiffre d’affaires TTC pour des années de travail ?
• Sait-elle d’ailleurs combien d’années de travail sont nécessaires pour mener à terme une opération de logements ?



Bref, avant d’affirmer de telles inepties il pourrait être judicieux pour celui ou celle qui les profère de s’intéresser aux mécanismes économiques et au fonctionnement de ce métier.





o « Ce ne sont pas des logements pour les jeunes ou les ménages moyens. A 5000 / 6000 € par mètres carrés c’est impossible »

Réponse :
En réalité, Stéphanie Fayolle n’a pas réfléchi à ce qu’elle avance. Raisonner en matière de prix au m² uniquement est une erreur. Beaucoup de paramètres entrent en ligne de compte pour déterminer à qui s’adressent les logements. Il existe de surcroît des dispositifs d’aide pour les primo-accédants tels que le prêt à taux 0% (PTZ) ou le 1% logement.
Sans considérer les aides tels que le PTZ qui viendront améliorer la capacité d’emprunt:
Aujourd’hui, un couple qui gagne 4000 € nets par mois peut emprunter sur 25 ans 265.000 € à un taux de 4,10%, soit l’équivalent d’un Type 2 neuf avec box en sous-sol à Trets.
Avant l’augmentation des taux d’intérêts qui s’est produite depuis le dernier trimestre 2022, le même couple pouvait emprunter 355.000 € soit l’équivalent d’un Type 3 voire d’un Type 4 neuf avec box en sous-sol à Trets.

Il y a donc bien une perte de pouvoir d’achat mais celle-ci est récente et est due à l’augmentation des taux d’intérêts en conséquence de la politique monétaire menée par la BCE pour juguler l’inflation.

En outre, prenons les données transmises par l’un des promoteurs sur son opération au sein de la ZAC CASSIN. Nous disposons de statistiques à peu près complètes pour 43 logements vendus.
Ils ont été vendus suivant cette répartition de catégories socio-professionnelles : 1 artisan commerçant ou assimilé, 13 cadres, 1 chef d’entreprise, 14 employés, 2 employés de la fonction publique, 4 professions libérales, 8 retraités.

La répartition des revenus est la suivante : 8 inférieurs à 30K€/an, 10 entre 30 et 50K€/an, 11 entre 50 et 70 K€/an, 15 supérieurs à 70 K€/an.
La répartition des âges est la suivante : 7 ont moins de 30 ans, 12 entre 30 et 40 ans, 9 entre 40 et 50 ans, 9 entre 50 et 60 ans, 9 ont 60 ans et plus.
On est donc loin des allégations de Stéphanie Fayolle qui ne devraient pas être tenus en dehors de discussions de comptoir !

Pour finir, je rappelle quand même les règles de la concurrence et du marché : plus il y a d’offres, plus les prix sont tirés à la baisse. Les prix affichés ne sont pas forcément ceux constatés à la signature de la vente. Il faut donc être prudent quand on avance un prix.





o « Il y aura 12 immeubles »
Réponse :
Il y a 9 immeubles de logements, 1 hôtel, et 1 immeuble de bureaux sur une superficie de 11,5 hectares. Il s’agit donc de 11 immeubles et non de 12.

o « Ils ont aussi réduit le parc paysager »
Réponse :
La zone réduite n’avait aucun intérêt environnemental. Nous avons réussi à poser les bases d’un accord bénéfique à la fois pour la commune et les propriétaires fonciers, notamment pour acquérir la zone humide à préserver et à mettre en valeur.
Gérer une commune c’est aussi parfois faire des concessions dans l’intérêt général pour permettre d’obtenir des projets satisfaisants.


o « Il aurait fallu conserver le bâtiment de la mine pour en faire un centre culturel, ça faisait partie de la sauvegarde du patrimoine. »

Réponse :
Il est prévu qu’il soit démoli depuis l’initiation du projet. Les Architectes des Bâtiments de France sont pourtant associés au dossier depuis la création de la ZAC, et ils ne se sont absolument pas opposés à la démolition dudit bâtiment.
Stéphanie Fayolle ne s’est pas opposée à la disparition dudit bâtiment qui n’apparaissait plus sur les plans de masses en conseil municipal, elle s’est simplement abstenue et n’a pas fait de commentaires sur le sujet avant septembre 2021.
Elle dit également s’être battue mais n’a fait aucun recours contre le permis de construire qui a été délivré.

En outre, elle n’évoque à aucun moment les questions de financement de l’acquisition du bâtiment qui était privé, de réhabilitation et d’exploitation d’un tel équipement et les conséquences pour l’équilibre financier de la ZAC pour lequel la commune verse d’ores et déjà 2.200.000€ !

Nous sommes là face à un exemple concret d’irresponsabilité, d’opportunisme politique à la sauce populiste !

o « On aurait fait 100 à 200 logements près de la gare routière, et après un parc paysager arboré sur une grande majorité. »

Réponse : Vraisemblablement les mathématiques et les finances ne doivent pas être les matières préférées de Stéphanie Fayolle.
En réduisant de 2/3 la surface constructible, on réduit de 2/3 les participations. De surcroît, il faut racheter les assiettes foncières (dépense non prévue dans l’actuel dossier de ZAC) pour réaliser un nouveau parc, indemniser les activités existantes qui sont à délocaliser et bien entendu réaliser les équipements…
Je rappelle que la commune participe d’ores et déjà à hauteur de 2.200.000 € pour réaliser les Parc Cassin et les équipements publics.

Combien aurait-il fallu mettre sur la table ? 10 millions ? 15 millions ? Plus encore ?! Où les prenions-nous ?!
Sans compter que ce projet n’aurait en rien répondu aux besoins des tretsois en matière de logement !

Démagogie quand tu nous tiens…




o « On aurait fait un cahier des charges stricts »

Réponse : Le cahier des charges actuel de la ZAC l’est…


o « On aurait aussi fait un grand parking en vue de piétonniser le centre-ville. »

Réponse :
Là encore il me semble que ça ne marche pas financièrement… Les compétences en gestion ne s’improvisent vraisemblablement pas.

- Pour Michel Matty : o « Il n’y a pas que les logements de la ZAC Cassin, il y a aussi un projet derrière la Médiathèque. »

Réponse :
En effet, un projet porté par Logis Méditerranée était en cours d’instruction au service urbanisme quand nous avons été élus. Il comprend 35 logements dont du LLS et du LLI.



o « On n’aurait fait un seul gros immeuble ça m’aurait moins choqué mais pas en étaler à perte de vue, il faut construire autrement. »
Réponse :
A priori Michel Matty est partisan des grands ensembles marseillais de type cité…
Personnellement je préfère l’aération entre les bâtiments et de petits ensembles qui sont nettement plus vivables et qui s’insèrent beaucoup mieux dans le paysage.
Il me semble qu’à Marseille ils en reviennent en les démolissant pour construire des ensemble mieux dimensionnés et plus aérés…

Comme quoi l’urbanisme et l’architecture, c’est également une question de goûts...




o « Pas un projet de lycée en zone agricole comme ils l’ont prévu dans 10 ou 15 ans. »
Réponse :
Alors oui, pour faire un lycée il faut de la place et il y en a peu en zone urbaine à Trets.
Il y a quelques temps la commune a acheté des terrains en zone agricole en bordure de la nouvelle ZAC de la Burlière. Cette acquisition est frappée d’une servitude non aedificandi jusqu’en 2031 à l’exception des constructions d’équipements publics.
Trets et la vallée souffrent aujourd’hui de ne pas avoir de lycée.

Certaines études ont démontré que beaucoup de nos concitoyens quittaient la commune quand les enfants arrivaient à l’âge du lycée afin de se rapprocher de l’établissement de leurs enfants.
Dès lors, il nous apparaît opportun de travailler sur l’implantation d’un Lycée chez nous, et je crois que si nous y arrivions, nombre de nos administrés seraient particulièrement satisfaits !

Il convient tout de même de préciser que l’implantation d’un nouveau lycée est de compétence Régionale. Dès lors, nous ne pouvons qu’espérer l’obtenir, mais la décision ne sera pas nôtre.
En attendant la campagne Roubaud reste une réserve foncière que notre Maire a décidé de mettre à disposition gratuitement des jeunes agriculteurs par le biais de conventions de 3 ans.
A toutes fins utiles, je précise que le PLU actuel contient 2310 hectares de terres agricoles. Le PLUi en aura 2347 ha soit + 37 hectares alors même que nous avons reclassé le terrain en objet en zone AU. Comme nous l’avions annoncé lors de la campagne électorale, nous sanctuarisons le caractère agricole de notre territoire.

Aussi, il me semble raisonnable d’affirmer que la compensation a été effectuée et qu’il y a bien évidemment de la place pour chacun des projets d’intérêt public pour le bien-être de nos concitoyens !



o « On aurait renégocié fait autre chose c’est certain, on aurait perdu de l’argent peut-être mais on n’aurait pas fait pareil. »

Réponse :
On m’avait dit que l’opposition devait être force de proposition…
Force est de constater que notre groupe d’opposition de gauche n’a pas vraiment peur de perdre l’argent des tretsois. A ce stade, ce n’est plus perdre de l’argent, c’est un gouffre financier…
A moins que... Bien entendu, avec un tel raisonnement ils n’auraient eu d’autres choix que celui d’augmenter de façon drastique les impôts locaux ! A la lecture de leur raisonnement, je ne suis même pas sûr que cela aurait été suffisant au demeurant...


- Pour Marie Bonnamy :
o « C’est de la mauvaise foi en disant que c’est pour loger les gens d’ici. Or on constate au niveau mondial que les gens d’un niveau plus riche délogent les gens d’un niveau plus faible car il y a une telle spéculation foncière que maintenant on vend sa maison non plus à une personne mais à quelqu’un qui va en construire 5 pour un montant 5 fois supérieur. Du coup, comme on n’a pas les moyens avec ce qu’on gagne de s’acheter la même chose on déménage dans une autre région où c’est moins cher. »

Réponse :
Tout d’abord, il convient de rappeler qu’il y aura des logements locatifs. 30% pour la part sociale, à laquelle il faut ajouter la part de logements acquis en investissement locatif dont les loyers sont plafonnés.
Dès lors, ne nous cantonnons pas à une vision très réductrice de propriété du logement qui est même plutôt étonnante venant d’une opposition de gauche…
Ne serait-ce que par cette donnée, les gens d’ici vont bel et bien pouvoir se loger !

En outre, toujours en prenant en référence l’opération du même promoteur nous ayant transmis les statistiques, sur les 43 logements vendus, 10 l’ont été à des tretsois, 17 à des ressortissants de communes proches, 9 à des aixois, 3 à des marseillais, et 4 à des ressortissants d’autres communes de la métropole.
Ensuite, en ce qui concerne le raisonnement sur la vente d’une maison qui va permettre d’en produire 5, non elles ne se vendront pas au même prix d’une seule propriété sur un grand terrain.
Je pense que Marie Bonnamy a voulu dire que le prix initial auquel a été acheté la maison il y a 20 ans sera le même pour la maison plus petite sur moins de terrain aujourd’hui.
Alors, oui, il est vrai qu’aujourd’hui pour le même prix nous obtenons moins de surface qu’il y a 20 ans, mais nous sommes aussi plus nombreux en France et dans les Bouches-du-Rhône, avec une demande forte, et nous vivons sur un territoire attractif à Trets.

En outre, je rappelle aussi que la loi prévoit désormais le zéro artificialisation nette à l’horizon 2050, ce qui signifie que toute nouvelle construction devra se faire sur des fonciers d’ores et déjà urbanisés entrainant de fait une densification et une réduction de la surface des terrains.




o « Les tretsois sont démarchés par des promoteurs qui veulent raser leurs maisons pour faire des projets immobiliers et on va se retrouver dans des villes invivables. »

Réponse :
Rassurez-vous, ce n’est pas un sort qui n’est réservé qu’aux tretsois. Les promoteurs démarchent automatiquement toutes les parcelles inscrites dans une zone urbaine sans distinction. C’est leur métier.
D’ailleurs, nous recevons également en mairie régulièrement des propositions de promoteurs pour des parcelles communales même quand elles sont occupées par un équipement public.
Par contre, la proposition n’entraine pas une vente. Ce sont bien les vendeurs qui décident de vendre ou pas à un promoteur parce que les règles d’urbanisme leur permettent de mieux valoriser leur propriété si une opération de logements avec densification est réalisable.

En outre, je m’interroge sur le qualificatif d’invivable.
Notre commune qui fait plus de 70 km² n’est-elle pas en capacité d’absorber quelques logements supplémentaires ?
Manque-t-on de places dans nos écoles ? Non !
Manque-t-on de places dans nos équipements sportifs ? Non !
A-t-on des problèmes d’assainissement collectif ? Non, notre station d’épuration est aux dernières normes et est prévue pour l’équivalent de 15.000 habitants !
Manque-t-on d’associations, de commerces, de services ? Non, nous avons tout ce qu’il faut et nous pourrons même les améliorer !
Y-a-t-il des bouchons à Trets ? Non !

Enfin et à toutes fins utiles, la municipalité actuelle n’est pas responsable du PLU qui a été voté en 2017 et qui ne règlemente pas l’emprise au sol des constructions en zone UD, soit l’essentiel du territoire urbanisé hors centre-ville.

Il est à noter que dans le PLUi nous avons prévu une emprise au sol maximum de 50% de la surface des terrains en zone UD. Dès lors, cela limitera de façon conséquente le type de projets qui fait peur à Marie Bonnamy.





o « Quand le maire dit qu’il n’a pas le pouvoir de s’opposer à la construction de dix maisons sur un terrain, c’est faux ! »

Réponse :
Il convient de rappeler à Marie Bonnamy que nous vivons dans un Etat de droit qui garantit à chacun d’être traité de façon égalitaire.
Il me paraît même inquiétant et dangereux qu’une élue municipale qui avait envisagé de pouvoir gérer la commune avec son équipe, se permette de tenir de tels propos en totale contradiction avec le droit applicable.
Je rappelle également à Madame Bonnamy que le pouvoir du Maire en matière d’urbanisme est en compétence liée avec celle du Préfet.
Dès lors, en effet, quand les règles de droit sont respectées par un projet, le Maire ne peut pas s’y opposer sauf à être attaqué pour excès de pouvoir soit par le Préfet soit par le pétitionnaire !

C’est au stade de la planification et de l’établissement des documents d’urbanisme (PLU notamment) qu’il faut s’inquiéter, pas au stade de la délivrance des permis de construire qui respectent les règles édictées sur la commune !

Vraisemblablement, l’opposition a une définition de l’excès de pouvoir à géométrie variable…



CONCLUSIONS :
Je me suis engagé aux côtés de notre Maire, Pascal Chauvin, pour faire bénéficier de mes compétences à nos concitoyens.
Avec notre Maire, nous travaillons en responsabilité quotidiennement pour les administrés, pour faire en sorte de sortir de l’ornière dans laquelle les précédentes municipalités nous avaient mis par manque d’anticipation et en prenant les mauvaises décisions.

Si je trouve normal que les femmes et les hommes politiques en charge se justifient de leurs choix, je trouve qu’il serait de rigueur et plus respectueux à l’égard de la population que tous les représentants de l’opposition se documentent et se renseignent avant d’aborder des sujets qu’ils ne maîtrisent pas afin qu’ils puissent étayer un minimum leurs affirmations.
Ce n’est qu’à cette condition que l’on évite de verser dans le populisme et la démagogie !

Les choix d’aujourd’hui tiennent compte d’un contexte particulier, d’une situation générale, de l’évolution de la société. Il convient de toujours se rappeler que la vérité d’aujourd’hui n’est pas celle d’hier ou encore celle de demain, qu’il nous faut nous adapter sans cesse et faire preuve de flexibilité, de pragmatisme, et surtout d’humilité.
Les jugements de valeurs et la stigmatisation n’ont rien à faire dans la gestion municipale, les seuls intérêts à défendre sont ceux de toute la population, de son bien-être, sans considération partisane.

J’en veux pour preuve un exemple criant et récent, à savoir la situation Marseillaise sur le logement liée à la politique de l’ancienne adjointe à l’urbanisme, Mathilde Chaboche, issue des mêmes rangs politiques et idéologique que Stéphanie Fayolle et son équipe.
Le résultat en est une chute brutale de la construction de logements, des besoins croissants avec une bombe sociale prête à exploser. Mais aussi, à force de stigmatisation et de diffamations, une fuite des professionnels de la construction immobilière vers d’autres villes, une carence SRU qui plane sur la ville, et in fine une perte de 3 ans qui ne sera pas rattrapable.

L’idéologie politique de ce type d’idéologie de gauche est délétère et génère des catastrophes sociales en oubliant souvent que le mieux est l’ennemi du bien et que les transitions, aussi nécessaires soient-elles, ne peuvent jamais être brutales.
Au demeurant, si les logements à venir aujourd’hui avaient été étalés sur les 12 ans des deux précédents mandats, cela aurait permis une meilleure acceptabilité et nous n’en aurions probablement pas parlé à chaque conseil municipal ou presque.

Il y a d’ailleurs fort à parier que les prix de l’immobilier n’auraient pas autant augmenté car la demande aurait été satisfaite au fur et à mesure.

Jean-Christophe SOLA
4ème adjoint au Maire
Délégué à l’Urbanisme, au Logement,
et à l’Aménagement du Territoire
Ville de Trets



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  • Faits divers Aux alentours Presse



Hier mardi 1er aout 2023 à 12 h 15, un des silos situé à l'arrière de la chaudière de la centrale de GazelEnergie a pris feu. "C'est un espace qui est hors POI, c'est donc un incendie mineur" rassure Camille Jaffrelo, directrice de la communication de GazelEnergie. Le plan d'opération interne (POI), est un outil opérationnel de prévention, de maîtrise et d'aide à la décision pour la gestion de crise.

Le silo dans lequel s'est déclaré l'incendie est un espace de stockage qui envoie de la biomasse (plaquettes de bois) qui est ensuite brûlée dans la chaudière. Les pompiers sont rapidement intervenus sur place. "On va expertiser et faire le bilan de ce qu'il s'est passé', indique Camille Jaffrelo. Un tel événement n'était encore jamais arrivé sur la centrale thermique de Provence. À 16 heures, l'incendie était déjà maîtrisé par les sapeurs pompiers.

Article paru dans LA PROVENCE du 2 aout 2023







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  • Interview Politique Municipalité



En ce mois de juillet nous sommes déjà à mi mandat de cette mandature municipale ! A l'occasion de cette mi mandat, Trets au coeur de la Provence vous propose tout l'été, comme le site l'avait fait en tout début de mandat il y a trois ans, des interviews de tous les élus d'opposition "ACTIFS" au sein du conseil municipal puis du maire à la rentrée. Au programme leur ressenti sur ces trois ans personnel tout d'abord, puis municipal, leur avis sur ce qui a été fait pendant ces trois années, leur avis sur les gros projets et le futur...

On continue cette série d'interview avec la seconde partie de la rencontre avec le plus gros groupe d'opposition de la commune, orientée à gauche, celui de TRETS AVEC VOUS , composée de quatre élus, qui a à sa tête Stéphanie Fayolle, candidate en 2020 qui avait terminé 2e au premier tour et 3e au second, avec Marie Bonnamy, Corrine Tomasini et Michel Matty.

Précision, Corrine Tomasini n'a pas pu se libérer le jour de la réalisation de cette interview.



=> RELIRE LA PREMIERE PARTIE DE L'INTERVIEW ICI

Depuis le début de ce mandat on sent une très forte opposition de votre groupe à l’urbanisation de la commune, bien plus forte que dans le précédent mandat ! En effet en préparant l’interview, j’ai repris les conseils municipaux du dernier mandat et votre opposition était vraiment très discrète. Un membre de votre groupe en 2015 qualifiant même le projet Cassin « d’intéressant » et se réjouissait même de ces nouveaux logements !!!!
Pourquoi donc cette position désormais, sachant aussi que la ville est notamment obligée de construire des logements sociaux sous peine de payer des amendes, que les gens sont aussi demandeurs de construire leurs maisons. Qu’auriez-vous fait dans ce domaine si vous aviez étiez élu en 2020 ?


Stéphanie Fayolle : Je précise qu’au départ concernant Cassin ce qui nous avait été présenté c’était une amorce, les prémisses, on pouvait voir quelque chose d’intéressant, on avait 600 logements, à l’époque c’était 500, or là la municipalité Chauvin a renégocié et l’ont revu à la hausse. Les certificats d’urbanisme datent de 2021 tout le monde peut vérifier, donc qu’on ne nous fasse pas croire que ce n’est pas leur projet. C’est leur projet. Moi je ne suis pas tout de suite dans la négation, on pouvait voir, travailler ensemble, voir le contenu du projet, on nous vend toujours que c’est pour des logements sociaux ; néanmoins quand on regarde ceux sont des logements pour les promoteurs, je suis désolé c’est de la spéculation immobilière que l’on fait ; qui ne sera pas très abordable comme je dis souvent, pas pour les jeunes, ni pour les ménages moyens. Car ce n’est pas possible à 500 6000€ le mètre carré ! Il y aura 12 immeubles ; ils ont aussi réduit le parc paysager… […]

Michel Matty : Je pense qu’il y avait d’autres solutions car sur Cassin c’est 500 logements, mais il y aussi d’autres logements derrière la médiathèque ! Ne pas construire ? Non on n’est pas contre les constructions, […] La loi SRU qui recentralise l’habitat a été faites pour recentrer l’habitat en centre-ville, on aurait fait un seul gros immeuble là ça m’aurait moins choqué, mais pas en étaler à perte de vue et pas un projet de lycée en zone agricole comme ils ont prévu dans 10 15ans… Il faut construire autrement je pense ! […] Pour moi par exemple le projet chassaoude était plus intelligent à l’époque !

Marie Bonnamy. : Pour Cassin on n’a jamais été opposé au projet, justement c’est une dent creuse donc c’était bien de l’utiliser, de déplacer tout ce qui était entrepôt plus en périphérie car il y a du Traffic de camions c’était intelligent. Mais ce qui gêne c’est la manière de faire et notamment le règlement du PLU. […] Il y a une mauvaise foi en disant que c’est pour loger les gens d’ici or on constate au niveau mondial que les gens d’un niveau plus riche délogent les gens d’un niveau plus fiable car il y a une telle spéculation foncière, que maintenant on vend sa maison non plus à une personne mais à quelqu’un qui va en construire 5, pour un montant 5 fois supérieur. Du coup, comme on n’a même pas les moyens avec ce que l’on gagne de s’acheter la même chose on déménage dans une autre région où c’est moins cher.
J’ai appris que tous les tretsois sont ainsi démarchés par des promoteurs qui veulent raser leurs maisons pour faire des projets immobiliers et on va se retrouver dans des villes invivables ! Quand le maire dit qu’il n’a pas le pouvoir de s’opposer à la construction de dix maisons sur un terrain c’est faux….



Alors qu’est-ce qui vous auriez fait si vous aviez été élus en 2020 ?
S .F : Eh bien on aurait fait Cassin, mais différemment et j’aurais conservé ce bâtiment de la Mine (ndlr : détruit en décembre dernier) qui me tenait à cœur on aurait pu en faire un centre culturel, ça faisait partie de la sauvegarde du patrimoine, on aurait gardé les arbres, on aurait fait une centaine de logements effectivement près de la gare routière et après j’aurais fait un parc paysager arboré sur une grande majorité, j’aurais redonné de la fraicheur, paisibilité, car là on va avoir des cycles sécheresse, inondation…. Ce sont les cycles climatiques qui le montrent… Il n’y a pas que le gare comme poumon vert, surtout un poumon à 3.3M ça fait cher !

M. B. : On aurait désimperméabilisé les parkings de suite, les cours d’école, et protégé les arbres ! On aurait pris des mesures anecdotiques mais qui auraient eu un effet sur les températures.

S.F. : Je ne comprends pas M Chauvin, qui avait été contre ce projet, moi je n’y voyais à l’époque que des logements sociaux mais quand j’ai vu l’envergure, toute cette spéculation immobilière, des promoteurs qui vont vendre… Je n’aurais en tout cas pas fait plus de 200 logements et on aurait fait un cahier des charges strict. On aurait aussi fait un grand parking pour. Peut-être piétonnisé le centre progressivement et avec l’accord des habitants car il faut leur permettre de garer leur voiture, ça se serait fait en réfléchissant ensemble.

M M : On aurait renégocié, fait autre chose c’est certain, on aurait perdu de l’argent peut-être, mais on n’aurait pas fait pareil !!!



Que pensez-vous des gros projets de la mairie pour les années à venir comme la gare, la gardi, le plan école, la forge du château ?
S. F. : Le plan école je suis d’accord, même si je ne l’aurais pas fait comme ça, autrement ; mais je suis d’accord qu’il y ait une rénovation des écoles quand je vois l’école St Jean avec les restes d’amiantes, les inondations, effectivement c’est primordial il ne faut pas avoir peur de dépenser de l’argent dessus, la priorité c’est nos enfants.
Après la gare oui il faut en faire quelque chose, mais un poumon à 3Millions ….

M. M. : Moi j’ai été un des rares à avoir marqué de supprimer le kiosque on aurait pu utiliser la place autrement en y faisant une halle par exemple, la rendre ainsi plus fonctionnelle et sympathique ! Un poumon vert ouais ils vont replanter des arbres mais il faudra attendre 30ans pour les voir grands.

M. B. : ils appellent ça concertation mais c’était plus un avis sur trois projets, ils auraient dû la faire autrement… Je pense qu’en faisant une vraie consultation le kiosque sauté, il aurait fallu faire un vote dessus.

S. F. : On aurait aimé que tous (les habitants) on se mette au-dessus de la table et que l’on discute, mais ça nécessite plus de temps ! J’espère que le projet sera bien même s’il est très onéreux.
Après la Gardi investir autant c’est encore de l’imperméabilisation ça m’effraie un peu je ne sais pas trop ce qu’ils veulent faire, est ce que c’était essentiel, n’aurait-il pas fallu améliorer les conditions thermiques des installations comme le gymnase, je ne suis pas contre mais mitigé ! Pour la forge, oui on est pour, y faire le restaurant des anciens oui c’est une bonne idée !

M. .M : Moi je rêve de revoir le château rénover entièrement !



Quelles sont les actions ou projets de la municipalité que vous approuvez ou avez approuvé le plus ?
S. F. : Moi je trouve qu’ils ont pas mal redynamisé Trets par les festivités, soit il n’y a pas que ça dans une ville , toute une gestion de budget notamment, mais ça met du baume au cœur et les gens en avaient besoin, et il faut continuer tant qu’on a les moyens, ce qu’ils font est en plus tout public, ça c’est diversifié, et c’est bien pour les commerçants. Pour ça Mr Accola, Mme Sammut se démènent, ils sont dynamiques, travaillent beaucoup.
Le plan de circulation au début on râle et on s’y habitue, il est revenu comme il était avant !

M. M. : Ca ça a été bien consulté ! C’est une bonne chose !

M. B. : La régularisation de toutes les affaires Feraud là un grand bravo, il y a de l’apaisement aussi…..

S. F. : Il y a aussi une atmosphère plus sereine, pour le personnel notamment c’est en tout cas une impression peut-être on se trompe, on n’est pas allé vérifier !

M. B. : Oui leur point très positif est qu’ils sont très à l’écoute des gens, du personnel, enfin sauf nous (rires)


Outre l’urbanisme, Y a-t-il un projet ou des actions contre lesquelles vous avez ou êtes opposés dans la politique que mène la municipalité actuelle ?
S. F. : oui les augmentations des prix des tarifs comme au dernier conseil, ok il y a l’inflation mais quand même ! Sinon il y a aussi l’attribution des parcelles agricoles, nous on était pour une régie agricole et là ça n’a pas été très transparent, il y a encore un peu trop de copinage on trouve. On aurait aimé qu’il y ait une partie pour la commune, pour faire notamment des jardins partagés accessibles à tous et non payants… Un hectare par exemple aurait été bien !

M. B. : la cuisine centrale avec le rognage du bio et local car ça coutait trop cher en raison de l’inflation c’est dommage.

S. F. : Ce que je n’aime absolument pas c’est le déroulé des conseils municipaux, je ne les trouve pas à l’aise du tout notamment dans les réponses et le placement des élus autour de la table que l’on n’aime pas !



Sur quel point selon vous la municipalité devrait travailler ou améliorer sur la seconde partie du mandat
S. F. : On aimerait voir enfin une école de musique être réalisée, les tretsois en parlent beaucoup !

M. B : Sur le développement durable de la ville en général, la notion écologique. Que les jeunes aient aussi un lieu à eux pour se réunir !

S. F. : Et aussi de s’améliorer dans la communication avec les élus de l’opposition, d’écouter, on n’est pas là pour se charcuter, je les trouve vraiment très tendus ! Un conseil municipal c’est aussi un lieu de réflexion, d’échange, même si on n’est pas d’accord, mais là c’est vraiment un point à améliorer.
Oui il y a aussi le développement durable, limiter le nombre de dos d’ânes, il y en a trop, trop hauts en plus et parfois ce n’est pas justifié avec plusieurs à la suite.
On souhaite également d’avantage de pistes cyclables


L’ancien maire vient d’être condamné dans deux premières affaires (vol contre la mairie et harcèlement moral) une réaction ?
S. F. : On ne se prononce pas, la justice a fait son travail ! Tant mieux que ce soit terminé pour les personnes qui étaient concernées, si ça a pu les tranquilliser et leur redonner sens à la vie.



2026 c’est dans deux ans et demi y pensez-vous déjà ?
S. F. : Non on n’y pense pas forcément, on ne travaille pas pour ça à l’heure actuelle. Je ne me suis pas positionnée, il y aura peut-être un autre talent, j’aimerai que ce soit une femme ça c’est sûr, mais ça ne sera pas forcement moi, voire pas du tout. Dans notre liste il y avait des femmes talentueuses et même dans la population quelqu’un se révèlera peut-être et je serai prête à la soutenir si ça correspond à mes idées ! J’étais là pour proposer un projet, désormais ce dernier sera difficilement faisable car ce sera construit de partout dans trois ans. Mais s’il y a quelqu’un, comme Marie, ou d’autres. Moi j’ai envie d’une femme pour une vision différente, du changement.

M. B. : Si on ne peut pas faire de liste, j’aimerai que l’on collabore, travaille tous ensemble.

S. F. : Et moi je ne sais pas si je serai encore sur Trets en 2026 car ces constructions ça risque de fortement perturber la vie. J’étais venue ici chercher la tranquillité il y a 25ans.


Fin de cette première interview, à suivre mi aout avec un nouveau groupe d'opposition






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  • Vie tretsoise



Ce week end des samedi 5 et dimanche 6 aout 2023 se tiendra l'évènement de l'année à TRETS : Les MEDIEVALES 9ème édition qui vont investir le centre du village sur deux jours. Conséquences de grosses restrictions de circulation et stationnement auront lieu dès vendredi 4.
=> Voir le programme complet ici

OU SE GARER ?
Tous les parkings de la commune seront ouverts et gratuits et seront cette année fléchés : parking de la gare, parking de la ferme, parking du collège, parking Robert Jacques , les colombes etc
Mais 3 sont conseillés : Parking RFF (près du supermarché casino) et ceux en bonus que la ville ouvrira, avec deux parkings supplémentaires juste pour le week end qui seront eux aussi indiqués : le champ derrière la salle des colombes, et le stade Burles


STATIONNEMENT INTERDIT du Vendredi 4 août 2023 à 08h jusqu'au lundi 7 août 2023 à 12h
La circulation et le stationnement sont interdits sur l'Avenue Mirabeau dans sa partie comprise entre la rue des minimes et la rue Leo Lagrange, mais aussi sur le Boulevard de la République, l'Avenue Léo Lagrange dans sa partie comprise entre l'Avenue Mirabeau et la Rue des Minimes et également sur le Cours Esquiros, la Rue Victor Hugo, la Traverse Victor Hugo, le Boulevard Etienne Boyer, l'Avenue Pasteur, la Rue Borde, la Rue du Premier Mai et l'Avenue Jean Jaurès dans sa partie comprise entre le bd de la république et la Place de la Libération

Mais également toutes les rues de l'hyper centre-ville ceinturées par l'avenue Mirabeau, cours Equiros, Bd Boyer et le Bd Vauban c'est à dire toutes les ruelles du centre ancien.

La circulation et le stationnement sont interdits du 4 août 2023 à 08h00 jusqu'au 7 août 2023 à 12h00, sur la Rue Clérion et sur la Rue Urbain Dubois, Rue Dominique Girodo sauf pour les riverains qui peuvent les emprunter dans un double sens de circulation.

Le stationnement de tout véhicule est interdit sur le parking du collège sur toute une ligne de places matérialisées au sol, côté du stade Burles sur l'Avenue Marius Jatteaux, du 04/08/2023 à partir de 08h00 au 07/08/2023 à 12h00.



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  • Agenda Nature



Le Parc Naturel Régional de la Sainte-Baume organise en ce printemps plusieurs rendez vous nature ! En effet dans le cadre de l’Atlas de la biodiversité communale de Trets, venez découvrir le monde extraordinaire du minuscule. Devenez chercheur amateur et en apprenez-en plus sur la nature près de chez vous, c’est ce qu'il vous propose en participant à cet inventaire participatif organisé avec l’Office pour les insectes et leur environnement & la commune.


Rendez vous le samedi 22 avril de 10h à 16h "Pistons les insectes".
Le lieu de rendez-vous est le Parking des pêcheurs, route de Puyloubier (GPS 43.46592 , 5.681669). Il s'agit de participer à l'inventaire des insectes . Un rendez-vous rare à ne pas manquer !

Retrouvez cette sortie et tous les rendez-vous du parc sur Trets ici : https://www.pnr-saintebaume.fr/decouvrir/agenda/?utf8=%E2%9C%93&f=1&categorie=&date=&commune=trets

Rendez-vous ouvert à tous, que vous soyez naturaliste expert, curieux de nature ou promeneur du dimanche, nous vous proposons de faire partie de ce vaste projet collectif qui a pour objectif de développer, partager la connaissance de la biodiversité, identifier les enjeux écologiques et proposer des pistes d’actions pour préserver et valoriser le patrimoine naturel du Parc.


Penchons-nous sur la flore #ABC Dimanche 14 mai – de 14h30 à 18h
Dans le cadre de l’Atlas de Biodiversité Communal de la commune de Trets, InfloVar vous amènera à la découverte de la faune et la flore environnante. Une sortie idéale pour les curieux et épris de la nature.
Rendez-vous ouvert à tous, que vous soyez naturaliste expert, curieux de nature ou promeneur du dimanche, nous vous proposons de faire partie de ce vaste projet collectif qui a pour objectif de développer, partager la connaissance de la biodiversité, identifier les enjeux écologiques et proposer des pistes d’actions pour préserver et valoriser le patrimoine naturel du Parc.

À partir de 7ans. Lieu de rendez-vous : Trets, Parking de l'Ermitage Saint-Jean du Puy,



Pistons les insectes dans la nature #ABC Samedi 27 mai – de 10h à 16h
Dans le cadre de l’Atlas de Biodiversité Communal de la commune de Trets, participez à l’atelier découverte des insectes avec l’association OPIE PACA.
Rendez-vous ouvert à tous, que vous soyez naturaliste expert, curieux de nature ou promeneur du dimanche, nous vous proposons de faire partie de ce vaste projet collectif qui a pour objectif de développer, partager la connaissance de la biodiversité, identifier les enjeux écologiques et proposer des pistes d’actions pour préserver et valoriser le patrimoine naturel du Parc.

Lieux de rdv : Trets, parking de Kirbon à partir de 7ans. Parking du chêne
Gratuit. réservation conseillée
Cette sortie est annulée par le Parc naturel régional de la Sainte-Baume et sera reportée ultérieurement.




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Observons les oiseaux sur le vif #ABC : Samedi 10 juin 2023 de 7h30 à 10h30.
Dans le cadre de l’Atlas de Biodiversité Communal de la commune de Trets, participez à la recherche d’oiseaux, avec la LPO (ligue de protection des oiseaux).

Avec un peu de chance, vous entendrez et verrez des espèces surprenantes et avec certitude, vous apprendrez les techniques pour les repérer.
Rendez-vous ouvert à tous, que vous soyez naturaliste expert, curieux de nature ou promeneur du dimanche, nous vous proposons de faire partie de ce vaste projet collectif qui a pour objectif de développer, partager la connaissance de la biodiversité, identifier les enjeux écologiques et proposer des pistes d’actions pour préserver et valoriser le patrimoine naturel du Parc.
Intervenants: LPO PACA, PNR de la Sainte-Baume.

Complément pour la réservation
abc@pnr-saintebaume.fr 04 42 72 35 22



Suivons les araignées au fil des toiles #ABC : Samedi 17 juin 2023 De 9h-12h et de 14h à 17h.
Dans le cadre de l’Atlas de Biodiversité Communal de la commune de Trets, participez à l’atelier découverte des araignées avec Fils et Soie.

Rendez-vous ouvert à tous, que vous soyez naturaliste expert, curieux de nature ou promeneur du dimanche, nous vous proposons de faire partie de ce vaste projet collectif qui a pour objectif de développer, partager la connaissance de la biodiversité, identifier les enjeux écologiques et proposer des pistes d’actions pour préserver et valoriser le patrimoine naturel du Parc.
Intervenant: Fils et soies

Complément pour la réservation
abc@pnr-saintebaume.fr 04 42 72 35 22



Pistons les insectes dans la nature #ABC : Dimanche 02 Juillet – de 14h30 à 17h
Dans le cadre de l’Atlas de Biodiversité Communal de la commune de Trets, participez à l’atelier découverte des insectes avec l’association OPIE PACA.

Rendez-vous ouvert à tous, que vous soyez naturaliste expert, curieux de nature ou promeneur du dimanche, nous vous proposons de faire partie de ce vaste projet collectif qui a pour objectif de développer, partager la connaissance de la biodiversité, identifier les enjeux écologiques et proposer des pistes d’actions pour préserver et valoriser le patrimoine naturel du Parc.

Lieux de rdv : Trets, parking de Kirbon à partir de 7ans.
Parking du chêne, Trets, France


Soirée contes et chauve-souris #ABC : Samedi 12 août 2023 de 20h à 22h.
Le Parc naturel régional de la Sainte Baume vous propose de participer à la Journée internationale de la chauve-souris. Le temps d’une soirée venez découvrir l’imaginaire qui se cache derrière la chauve-souris.

Des contes qui abordent la biologie de ces animaux afin de mieux les connaître ? Quoi de mieux pour à mieux comprendre le fonctionnement de ces mammifères et leur grande utilité d’un point de vue environnemental.
Cette sortie est proposée dans le cadre de la réalisation de l’Atlas de Biodiversité Communale de Trets.
Rendez-vous ouvert à tous, que vous soyez naturaliste expert, curieux de nature ou promeneur du dimanche, nous vous proposons de faire partie de ce vaste projet collectif qui a pour objectif de développer, partager la connaissance de la biodiversité, identifier les enjeux écologiques et proposer des pistes d’actions pour préserver et valoriser le patrimoine naturel du Parc.

Complément pour la réservation
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Ce lundi matin, 31 juillet, un incendie de forêt a ravagé près de deux hectares de végétation sur les hauteurs de Châteauneuf-le-Rouge dans la barre du cengle, rapporte LA PROVENCE.COM. La fumée était d'ailleurs visible de Trets.

Selon le service départemental d'incendie et de secours (Sdis), une cinquantaine de pompiers, un Dash , deux canadairs ainsi que deux hélicoptères bombardier d'eau sont intervenus en renfort et ont effectué quelques largages pour lutter contre les flammes.

Ces dernières ont été maîtrisées aux alentours de 14 heures. Désormais fixé, l'intervention s'achève par une opération de noyage.

Pour rappel, le département des Bouches-du-Rhône a été placé en vigilance orange face au risque d’incendie, dans un contexte de sécheresse.



(Photo prise de Trets par L AMANIEUX)
Vidéo FACEBOOK : Florence P.












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