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Aux alentours Montagne Ste Victoire Peynier Rousset Puyloubier Fuveau Pourrières Gardanne St Maximin Chateauneuf le Rge Aix en Provence Marseille St Zacharie Mimet Aubagne

SPORT RESULTATS Foot Futsall Gym Hand Basket Muaythai Vélo Danse Judo Volley Rugby Tennis Badminton SIHVA Club ALPHA

• Cinéma Télévision Presse Aux alentours

Pourrières est une vraie terre de tournages de films et séries décidément. En effet depuis quelques années nos voisins ont la chance de recevoir régulièrement des tournages sur leurs terres, ils ont ainsi eu La Marche, Radio Stars coté films ces dernières années, mais également Crossing lines une série internationale pour Tf1 et nbc et bien d'autres.

Et un nouveau tournage d'importance s'est tenu cet automne dans la commune, les 15 et 24 novembre dernier où TF1 est venue tourner des scènes d'un épisode de sa série à succès du jeudi soir LEO MATTEI Brigade des mineurs, Saison 8, dont le tournage se déroule dans tout le département depuis des années et notamment à Aix ou Marseille. Jean Luc Reichman, le célèbre animateur télé et héros de cette fiction policière recevait un guest d'importance ce jour là en la personne de Yves Renier. Il y aura aussi dans cet épisode Lou Jean (Demain nous appartient) et la comédienne Anne Lise Hesme.

Le tournage a eu lieu dans le couvent de la commune mais aussi dans les vignobles de Puyloubier, la diffusion devrait avoir lieu d'ici quelques semaines, février ou mars 2021 sur TF1.

Photos Instagram @JeanLucReichmann
Récit par VAR MATIN du 1er décembre 2020


Bande annonce de la saison


[] DIFFUSION : JEUDI 22 AVRIL 2021 À 21:05
Saison Saison 08 - Les blessures de l'enfance (Partie 1 & 2)
Créée par Jean-Luc Reichmann, Nathalie Lecoultre, Michel Alexandre et Yann Le Gal
Scénario, adaptation et dialogues : Franck Ollivier et Justine Kim Gautier
Avec : Jean-Luc Reichmann (Léo Mattéï), Mathilde Lebrequier (Olivia), Maïra Schmitt (Eloïse), Alexandre Achdjian (Jonathan), Océane Guichard (Maya), Lou Jean (Capucine), Xavier Mathieu (Commissaire Alain Cabelle), Clément Manuel (Philippe), Alex Terrier-Thiebaux (Hugo), Alexis Bitton (Manu), Anne-Juliette Vassort (Dora Rodriguez), Jean Menconi (Diego), Rafael de Ferran (Noé), Pierre Lopez (Lassalle), Sophia Johnson (Zarka), Florence Demay (Sergent), Vanina Delannoy (Evelyne Fratter), Christophe Pardon (Georges Fratter), Cécile Rittweger (Légiste), Karim Haroun (Chef PTS)
Avec la participation de Véronique Jannot (Docteur Fabre), Anthoony Colette (Cédric), Yves Rénier (Pierre) et Annelise Hesme (Odile)

La mort d’un jeune gitan, poignardé dans un parc marseillais, révèle une relation secrète avec une adolescente timide dont la famille a créé un étrange mouvement de guérison ésotérique. Léo Matteï et son équipe s’interrogent sur ce que cache cette romance à la Roméo et Juliette et tentent de percer les secrets du leader charismatique qui gère le mouvement : un ancien scientifique qui prétend guérir des malades en détresse…

Bande annonce de cet épisode :



[] C'est exclusivement le couvent aussi bien intérieur, que sa cour, ses abords et jardins que l'on a vu dans ces deux épisodes sur TF1. Pas de vignobles ni de Puyloubier finalement. Pas un mot de remerciements envers la municipalité de Pourrières au passage pour le prêt du couvent. Voici les jolies vues du couvent diffusées dans les épisodes

• Souvenirs

Retour dans le passé du collège de TRETS avec un article du 17 juin 1998 de LA MARSEILLAISE

Doc Gui Van oost

• Aux alentours Saint-Maximin

Attention si vous comptez vous rendre chez nos voisins de St Maximin la Sainte Baume à partir du 3 mai, car les choses vont fortement se compliquer pour se garer et y stationner...
Après plus de 20 ans d'une domination sans partage d'un même camp, la ville varoise a changé de maire l'an passé, passant à gauche et ce dernier a commencé à appliquer son programme avec parfois des polémiques qui font les choux gras de la presse locale et des réseaux sociaux depuis quelques mois.

Parmi l'une d'elle et qui nous concerne ici et qui va compliquer le quotidien des St maximois et visiteurs de passage (comme nous) celle du changement de la politique de stationnement et de circulation, puisque ce dernier a décidé de faire comme notre précédent maire à Trets et dans d'autres communes; de revoir ces deux domaines avec des révisions concoctées visiblement par les mêmes génies qui nous compliquent tant la vie à Trets depuis dix ans. Le plan de circulation va en effet changer dans la cité varoise et la majorité des parkings devenir payants, bref comme cela avait été fait chez nous, donnant les mêmes déluges de contestations.

Circuler dans St Maximin n'était déjà pas évident si on souhaitait se rendre dans certains secteurs comme celui de la basilique ou le jardin de l'enclos pour se rendre dans les parkings du coin, ça sera dorénavant encore plus compliqué, en particulier dans ce secteur ci ! Pire la place principale de la ville, Place Malherbe, qui permettait de se rendre dans le secteur de la basilique, va être fermée à la circulation et devenir piétonne. Celle ci était pourtant un point de passage phare, voir obligatoire, pour rejoindre le Nord de la ville ou rejoindre le centre par le Nord mais aussi l'Est. La majorité des changements eux vont conduire les gens en sortie de ville (bref comme chez nous), donc si on tourne pour trouver une place cela va être la galère ...

Coté stationnement, il sera payant sur certains secteurs et parkings proches du centre-ville de Saint-Maximin : les boulevards Jean-Jaurès et Docteur-Bonfils, les places Malherbe et Jean-Salusse, les parkings des Cerisiers et De-Lattre-de-Tassigny / Pré de foire (qui est situé en bordure de l'avenue principale qui va au centre ville, un parking qui sera en plus réorganisé, on pourra y rentrer comme avant, mais pour y ressortir on sera renvoyé vers Hyper U dorénavant).
Chaque jour, les deux premières heures seront gratuites. Puis pour la première heure payante, il faudra débourser 2 euros et les suivantes 3 euros.

Voici le récapitulatif des changements majeurs qui seront applicables dès le LUNDI 3 MAI 2021

• Sport Municipalité Association

Fermé depuis le Mardi 6 avril 2021, par décision de la municipalité, ce qui avait alors provoqué une grosse polémique à épisodes (à relire ici), le complexe LA GARDI va enfin réouvrir ses portes.

En effet après 15 jours de fermeture (et ce malgré le fait que le sport était autorisé par le gouvernement lors de ce 3e confinement) pendant la semaine de cours en distanciel pour les écoles et les 10ers jours de vacances scolaires anticipées, le maire et son adjoint aux sports ont reçu ce mardi 20 avril les présidents des associations sportives concernées pour leur annoncer une excellente nouvelle : l'avancée de la date de réouverture du complexe, qui aura ainsi lieu avec 5 jours d'avance, dès ce mercredi 21 avril 2021. Une réouverture qui devait au départ avoir lieu le 26 avril date de la fin des vacances scolaires des écoliers.

La ville avait au départ pris cette décision par manque de personnel municipal, dont beaucoup était en maladie ne leur permettant pas d'ouvrir le complexe sportif en toute sécurité, mais également la peur d'avoir un trafic trop important sur le site, qui rendrait impossible le respect du protocole sanitaire renforcé. Pendant cette période le rugby s'était alors délocalisé à Pourrières, le foot à Puyloubier, le tennis à Peynier tandis que les autres clubs étaient à l'arrêt forcé.

Toutes les salles elles restent toujours fermées, ainsi que les sports collectifs ou de contacts, comme imposé par le décret gouvernemental en vigueur jusqu'au 3 mai.

Néanmoins, la mairie a durant cette fermeture travaillé sur un protocole sanitaire qui sera applicable dès ce mercredi, que voici :


Photo : A. Van Magne

• Vins Viticulture Presse

La famille Sumeire cultive la tradition et l’amour du vin de génération en génération. À partir de mai, une nouvelle couleur vient s’ajouter à leur palette de vins : l’orange, obtenue grâce à la macération de raisins blancs.

Vin orange : une nouveauté pour la famille Sumeire
Installée face à la montagne Sainte Victoire depuis le XIIIe siècle, la famille Sumeire cultive la tradition et l’amour du vin de génération en génération. Rouge, blanc, et bien sûr rosé… sa production, de trois millions de bouteilles chaque année, s’exporte dans le monde entier.

A partir du mois de mai, une nouvelle couleur vient s’ajouter à sa palette : l’orange, obtenue grâce à la macération de raisins blancs durant 21 jours. Reflets dorés et ensoleillés, légère amertume : l’Orangé ravira les amateurs de vins atypiques et d’arômes fruités, grâce au mariage subtil de notes d’agrumes et de noix fraîches.

Initialement produite pour le marché américain, cette cuvée au tirage très limité sera disponible en France pour quelques cavistes et restaurants ainsi que sur la boutique en ligne de la famille Sumeire.

Le fruit d'une tradition ancestrale
Si le vin orange est de plus en plus prisé d’un public en quête de saveurs inédites, il est aussi le contraire d’une boisson marketing éphémère. Fruit d’une tradition perpétrée durant des millénaires en Géorgie et dans le Caucase, le vin de macération, dit vin orange, est aujourd’hui reconnu dans le monde entier comme un vin de gastronomie.


Une macération lente et méticuleuse
Le procédé lent et méticuleux, consiste à vinifier le vin blanc à la manière d’un vin rouge. À l’origine, cette méthode était destinée à garantir une meilleure conservation, grâce à la macération de raisins blancs durant plusieurs semaines, en grappes entières. Ce sont les anthocyanes et les polyphénols présents dans la pellicule de la peau du raisin qui lui confèrent cette couleur si particulière. Selon le cépage utilisé ainsi que la durée de macération, la couleur est plus ou moins foncée.


« L’Orangé » : un vin « tendance »
Créé par Annabelle Sumeire pour répondre à la demande d’un client New-Yorkais, l’Orangé, le nouveau vin des Sumeire, se caractérise par une belle couleur orange pâle aux reflets dorés. Issu du cépage Ugni blanc, c’est un vin tonique qui présente une belle acidité. Le nez expressif de mandarines, de yuzu et de Cédrat se combine avec des notes de noix fraîches et de coing. Sa structure tannique peut surprendre, avec une longue finale sur les oranges amères :

« C’est un vin, accessible, facile à accorder avec de nombreux mets. Avec son attaque nerveuse, il est idéal pour l’apéritif ou le fromage. Il accompagne aussi à merveille légumes anciens, le gravelax de saumon, la poularde aux morilles, ainsi qu’une cuisine exotique comme, par exemple, les travers de porc à la citronnelle. », explique Annabelle Sumeire.


Amour du terroir et respect de l’environnement
Au croisement de la tradition et de la modernité, l’Orangé allie l’audace à un savoir-faire ancestral. Le symbole de l’arbre, repris sur l’étiquette, témoigne de l’attachement aux racines familiales, mais aussi au respect de l’environnement, l’Orangé étant issu de vignes labellisées « Haute Valeur Environnementale ».

Le vin orange : quatrième couleur du vin
C’est auprès d’une clientèle férue de vins atypiques, que le vin orange connaît un engouement croissant. Si en France, la production reste microscopique, limitée à l’Alsace et la Loire, aux Etats-Unis le succès est tel que l’orange est aujourd’hui en passe de devenir la quatrième couleur du vin.


À propos de la famille Sumeire
Les Sumeire, installés en Provence depuis le XIIIe siècle. La famille Sumeire détient trois domaines situés en Provence: le Château Coussin à Trets, le Château l’Afrique à Cuers et le Château Maupague, à Puyloubier.
Aujourd’hui, les domaines Sumeire produisent au total 3 millions de bouteilles par an dont 50% sont destinés à l’export dans une trentaine de pays.
=> SITE INTERNET
Communiqué de presse

• Municipalité

C'est une information importante qui a été dévoilée lors du dernier conseil municipal de la ville le 23 mars 2021. L'adjointe aux finances a en effet annoncé que les comptes de l'ancienne municipalité vont être examinés.

En effet "la chambre régionale des comptes va faire le controle des comptes de la ville sur la période de 2010 à 2019" a t'elle annoncé, insistant alors sur cette durée très longue "A savoir sur une durée de 9ans. Or en général le controle de la chambre régionale des comptes normalement c'est 6 à 5ans pas plus " En gros tous les budgets des deux mandatures de l'ancienne municipalité vont donc être passés à la loupe par les experts financiers de l'Etat, sauf celui de 2009. L'ancienne municipalité étant arrivée en mars 2008 pour mémoire. "Nous n'avons rien à cacher, et nous verrons aussi ce qu'il en sortira à l'issue de son controle, c'est à dire dans un an ou deux" précisera l'adjointe.

Pour rappel les Chambres Régionales des Comptes sont des juridictions administratives financières françaises chargées de vérifier les comptes des collectivités locales. Ainsi les chambres examinent la gestion des collectivités publiques de leur ressort. Cet examen porte sur la régularité mais également sur la qualité de la gestion. Les chambres n’ont pas à apprécier l’opportunité des choix politiques des élus mais la sincérité des comptes.

Elles jugent la régularité des comptes des comptables publics : Contrôle budgétaire annuel (respect des délais de vote, équilibre du budget, inscription des dépenses obligatoires…), Contrôle de la gestion : analyse de la situation financière de la collectivité et de la régularité et adéquation de ses procédures.
Le contrôle de la gestion est l’aspect le plus lourd, il va au-delà de l’analyse financière et correspond à un audit du fonctionnement de la collectivité et de sa gestion. A ce titre, les CRC procèdent à une analyse poussée de la situation financière, des procédures financières, de l’économie des moyens mis en œuvre et de leur efficacité. L’analyse porte notamment sur : l’évaluation des charges et recettes de fonctionnement, le niveau d’autofinancement dégagé pour les investissements, le niveau d’endettement et la structure de la dette, les engagements financiers porteurs de risques pour la collectivité, le coût des projets d’équipement, la commande publique, les relations avec les satellites (associations…). Dans chaque domaine analysé la CRC s’attache à vérifier la qualité et la fiabilité des données et des procédures.

L’équilibre des opérations de gestion, l’économie des moyens mise en œuvre et leur efficacité c’est-à-dire la comparaison des moyens avec les résultats obtenus, les observations résultants de cet examen font l’objet de rapports d’observations provisoires puis définitives (plus de 800 en moyenne annuelle) qui sont portées à la connaissance des assemblées délibérantes et rendues publiques.

Cet audit de la cour des comptes permettra donc la transparence, et mettra fin aux rumeurs qui courent sur la commune et qui ont perturbé la campagne municipales l'an passé. Les résultats de ce controle seront rendus publics à la population et au conseil municipal d'ici un an ou deux donc. On ne sait pas cependant si cette décision d'examiner les comptes de la commune a un lien avec la perquisition qui s'était déroulée en décembre 2019 en mairie, sachant que la cour des comptes examine chaque année les comptes de très nombreuses communes et ses rapports sont parfois au "vitriole" comme les deux derniers rendus dans le coin l'an passé à la Bouilladisse ou Marseille par exemple qui ont beaucoup fait parler. Elle émet aussi ensuite des recommandations.

Mr ODDO ex adjoint à l'urbanisme durant ces 12 dernières années a réagit positivement à cette annonce "Je pense que l'ancienne municipalité malgré les defaults qu'on peut lui trouver a laissé un budget équilibré financièrement, si la cour des comptes le juge ce sera encore mieux par la suite..."

A noter que l'an passé à son arrivée au pouvoir, la nouvelle municipalité n'avait pas souhaité réaliser d'audit financier : "Nous avons la compétence pour faire un audit nous-mêmes, se cacher derrière un prestataire extérieur n’est pas de mon fait." avait justifié Pascal Chauvin lors de l'interview qu'il a accordé au site en début d'année.

• Nature Vidéo

Jean Claude Laccasin pédologue de la société du canal de Provence et André Doudon agriculteur ont témoigné dans un reportage consacré aux Pratiques de conservation des sols pour une agriculture durable face au changement climatique. Une vidéo réalisée dans le cadre du projet CREM "Coopération Régionale pour la gestion durable des Ressources en Eau au Maghreb" (auquel participe notre ancien maire Loic Fauchon, Président du Conseil mondial de l’eau) par la coopération allemande au développement (GIZ) en partenariat avec l’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS) et le Système Euro-Méditerranéen d'Information sur les savoir-faire dans le Domaine de l'Eau (SEMIDE).

Le projet est mandaté par le ministère fédéral de la coopération économique et du développement (BMZ).

• Travaux Aux alentours Presse

Deux grosses opérations de travaux vont être menées dans le canton dans les mois et années qui viennent toutes deux par le conseil départemental des Bouches du Rhone : la Nationale 7 où les travaux auraient du déjà démarré depuis le 15 avril et le contournement de la Barque à Fuveau.

Zoom sur ces travaux par LA PROVENCE en date du 6 avril 2021

N7 : Rousset Acte II des travaux cet été
Entre le Canet-de-Meyreuil et Pourrières, 15 kilomètres de la route D7n sont en chantier. Dix millions d'euros sont engagés dans cette opération. Malgré la gêne occasionnée pour les riverains, les travailleurs et les commerçants, ces travaux sont destinés à renforcer la chaussée qui se dégrade à vue d'oeil. Cette route départementale fortement empruntée supporte un trafic journalier de 11 000 à 16 000 véhicules, avec un taux de poids lourds de l'ordre de 5%. "Le Département a donc décidé d'intervenir pour prolonger sa durée de vie", précisent les services.

Avec une enveloppe de 5,5 M €, la première phase de 8 km entre le quartier des Bannettes à Rousset et le Var, a eu lieu du 15 septembre à la fin de l'année 2020. Pendant ces trois mois de travaux, la circulation a dû être interrompue dans le sens Bouches-du-Rhône/Var, augmentant le trafic de la RD6 à La Barque. La deuxième partie estimée à 4,5 M €, reliant le Canet-de-Meyreuil aux Bannettes, doit débuter en juillet pour quatre mois de travaux.

Après le confinement en 2020, les commerçants roussetains s'étaient fait entendre lors de la première phase des travaux, estimant catastrophique la fermeture de la route des vacances en début d'été. Les travaux n'avaient alors débuté qu'à la rentrée. Rebelote cette année.
Photo CD13 Twitter



Fuveau : liaison à l'A8 prévue en 2023
À Fuveau, le hameau de La Barque est un noeud routier important qui assure de multiples liaisons avec le Var et les villages de Peynier, Rousset, Fuveau ainsi que Marseille et l'autoroute A8. Il n'est plus adapté au transit quotidien de 16 000 véhicules par jour en 2018 dont 13 % de poids lourds. Trafic estimé à 33 000 en 2025. Les nuisances sont, quant à elles, proportionnelles : les embouteillages sont légion, le bruit, l'insécurité, la pollution, etc.

À l'instar de la récente jonction entre l'A51 et l'A8 pour rejoindre le nord d'Aix en direction d'Avignon, un barreau de liaison est donc en projet depuis trois ans, dans le but de relier directement la RD6 à l'A8. "L'opération consiste à réaliser un barreau à deux voies d'une longueur de 1 800 mètres environ comprenant un carrefour giratoire au sud permettant de rétablir les échanges avec la RD6, et un giratoire au nord entre la RD96, et la sortie autoroutière de l'A8", expliquent les services du Département.

Selon leurs estimations, le trafic attendu sur cette déviation à l'ouverture sera de 18 000 véhicules journaliers avec un taux de 9,1% de poids lourds, puis à terme, 23 700 véhicules. De quoi alléger les départementales 6 et 96. Une opération dont le coût est estimé à 31,7 M € TTC avec un cofinancement à hauteur de 20 % de la Métropole. Malgré la déclaration d'utilité publique le 15 septembre 2016, le projet nécessite encore l'obtention de la dérogation à la destruction d'espèces protégées par le Conseil national de la protection de la nature. Comme c'est le cas pour la déviation de St-Cannat (lire ci-contre). Des mesures compensatoires sont exigées et font l'objet d'analyses.
Si tout suit son cours, une première phase de travaux est prévue début 2022 pour le giratoire Nord raccordant la sortie de l'A8 à la RD96, puis en 2023 pour le barreau lui-même.

Photo & plus d'infos : https://ciqsaintfrancois.com/fuveau-contournement-du-hameau-de-la-barque/


LA PROVENCE 6 AVRIL 2021 par L GARETA

• Souvenirs

Notre Deloréan Policière nous embarque aujourd'hui en 1891 avec la mort tragique d'un grand directeur de journal, qui était aussi administrateur de la Caisse d'Epargne de Trets (dont le site vous a parlé à deux reprises cette semaine); via ce nouvel article de notre rubrique quotidienne "LE TRETS GLAUQUE" consacrée à 2 siècles de faits divers tretsois.



Marseille, 15 janvier 1897; M. Barlatier, directeur du Sémaphore, journal commercial très important de notre ville, vient de mourir dans des circonstances particulières :
Il s’était rendu à sa campagne, et hier soir, vers quatre heures, il regagnait sa maison d’habitation, sise à Trets, lorsque, saisi sans doute par le froid, il tomba sur la route, frappé d’une congestion pulmonaire.
C’est seulement ce matin à la première heure que son cadavre a été trouvé sur la route par des paysans se rendant aux champs. M. Barlatier était âgé de cinquante-deux ans.
LE COURRIER DE SAONE-ET-LOIRE 17 Janvier 1891


On meurt de froid à Marseille
M. Barlatier, figé agé de cinquante ans, directeur du Sémaphore, chevalier de la Légion d’honneur, est mort subitement d'une congestion pulmonaire causée par un froid de dix degrès à Trets où il avait une propriété.
La Croix 16 janvier 1891

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