Toutes les petites informations, de la vie du Sport à Trets avec les résultats, les affiches, les évènements, pour être encore plus informé sur ce qu'il se passe à Trets et de manière plus rapide... Si vous avez des infos, des résultats, photos à communiquer, si vous êtes au courant de quelque chose qui se déroule ou va se dérouler à Trets, envoyez dès maintenant un mail ou poster un message sur le forum, l'info sera rapidement mise en ligne ici... Merci à vous !
En cette rentrée 2020, Trets et Saint Maximin se retrouvent au centre d'un polar sorti dans toutes les bonnes librairies de Provence. Ecrivain de Provence, Bruno Carpentier vient en effet de sortir "La Crypte de St-Maximin", son 5ème « polar de pays », comme il se plaît à dire.
Ancien officier de Légion, il s'est plongé dans l'écriture il y a très longtemps puisque sa passion de l'écriture, a démarré à l'adolescence puisqu'il a écrit son premier manuscrit à l'âge de 15 ans et a publié son premier texte à 22 ans (un pamphlet contre l'Europe des techniciens). "L'écriture fonctionne chez moi avec celle de la lecture et le goût du partage, m'est venue très tôt sans très bien savoir comment." Le quinquagénaire dirige depuis 2012 la collection de romans policiers Crimes de Pays, aux éditions D’un autre ailleurs (Antibes). L’écrivain s’était déjà fait remarquer lors de la parution de son polar L’Ecorcheur de Cadolive. J'ai depuis publié 13 ouvrages." Il récidive maintenant avec cette mystérieuse intrigue qui se déroule, en partie, à Trets. Rencontre avec l’auteur.
Quel est le sujet de La Crypte de St-Maximin ? Bruno Carpentier : Nous sommes le jeudi 12 juillet 2012. Janette Mouriès, originaire de Trets, est retrouvée morte dans la basilique de St-Maximin où reposent les reliques de Marie-Madeleine. La vieille dame aurait découvert un secret dans la crypte. S’agit-il d’affabulations ? d’un crime crapuleux ? d’un complot religieux ? Parachuté en zone gendarmerie, le commandant Cosentino devra le découvrir. Mais ce qu'ignore le flic du SRPJ de Marseille, c'est que nul ne sort indemne du troisième tombeau de la chrétienté, pas même un as pétri de certitudes.
Qu’est-ce qui vous a donné envie d’écrire sur St-Maximin et Trets ?
BC : St-Maximin, c’était évident, puisque l’intrigue tourne autour de plusieurs découvertes sur la vie de Jésus et Marie-Madeleine. En revanche, impliquer Trets, que ce soit par des personnages ou des lieux, était une volonté. J’y ai de la famille, j’y viens dédicacer au salon littéraire des Ecrivains de Provence, et le cadre d’une intrigue policière sortie du Moyen Âge s’y prêtait. L'église romane Notre-Dame de Nazareth est signalée en l'an 100. Ses bâtisseurs ont dû connaître saint Maximin et sainte Marie-Madeleine. L’enquête policière s’achève d’ailleurs à Trets… J’ai eu le temps d’y réfléchir puisque le polar devait paraître en 2016 avant qu’un évènement personnel décide mon ancien éditeur (Italiques) à raccrocher les gants… J’ai eu le temps de peaufiner mon roman.
Pourquoi Marie-Madeleine, la Provence ?
BC : L’effervescence autour des reliques de Marie-Madeleine et de la question de la venue ou pas de la Sainte en Provence sont d’une actualité brûlante. Au-delà de la foi et de la tradition, ce sont les valeurs humanistes apportées dans le sud de la France par les premiers chrétiens qui animent cette ferveur. Ma rencontre, à l’occasion de mes recherches historiques, avec des chercheurs, des universitaires, des conservateurs de musées, mais aussi des membres d’associations patrimoniales locales, toutes et tous passionnés par leur Provence chérie, m’a déterminé à me lancer dans l’aventure. Dès lors, la quête de sources fiables et recoupées a commencé. La bouilloire à idées s’est mise à chauffer et le choix du genre policier, par souci d’objectivité et de recul, m’a permis d’explorer le vaste sujet sans privilégier aucune thèse (pour/contre, vrai/faux). Quoi de mieux, d’une part, qu’une mystique qui défend la maternité de Marie-Madeleine et, d’autre part, qu’un policier cartésien, disciple de saint Thomas et de la preuve par 9, pour animer le débat ?
Combien de temps avez-vous mis pour écrire ce livre et quels messages faites-vous passer ?
BC : Cinq ans ont été nécessaires à l’écriture, aux nombreuses recherches historiques et à la vérification du manuscrit par un comité d’experts (cités dans l’ouvrage). Le doute, aussi, s’est invité dans la partie. Mais quoi de mieux que le doute pour celui qui cherche la vérité ? La crise du printemps 2020 m’a vu arriver avec une base exploitable de quatre-cents pages.
J'ai voulu proposer, à travers le symbole qu'est Marie-Madeleine, des raisons de porter l'espoir. Car au-delà de la foi et de la tradition, ce sont les valeurs humanistes apportées (ou pas ?) dans le sud de la France par les premiers chrétiens qui m'ont animé. Quelque part, l’actualité et l’idée de refonder notre société, avec cette histoire de coronavirus, m’ont rattrapé. Brigitte Cosentino, l’épouse de mon personnage principal, n’a-t-elle pas raison ? Toute cette histoire ne repose-t-elle pas sur la seule question qui soit digne d’intérêt : qu’est-ce qui est le plus important dans notre roman national ? - que le débarquement aux Saintes-Maries-de-la-Mer des proches de Jésus soit authentique ? - ou que les valeurs qu’ils nous ont léguées soient bien réelles ? L'amour, le pardon, la tolérance. L'égalité fondamentale entre l'homme et la femme. Le respect, le partage... Le voilà, le message de Marie-Madeleine. C'est tout l'arrière-plan de mon intrigue policière.
Aujourd’hui, Marie-Madeleine est devenue l'icône de la féminité, du courage et du respect de la parole donnée. Si j’en crois la légende, c’est une femme à qui on a arraché le compagnon et qui a été traînée plus bas que terre : certains ont prétendu que c'était une prostituée ; si elle a eu des enfants, elle les a élevés seule. Bravo. C’est une femme résolument moderne en ce sens que pour se réaliser, elle ne s’oppose pas à l'homme, mais envisage leur relation dans le complémentarisme et le respect mutuel. Ce n’est pas une féministe caricaturale, c’est une femme apaisée, consciente de sa force et de son rôle dans l’idéal social que peut représenter la famille.
L'histoire : Juillet 2012. Janette Mouriès est retrouvée morte dans la basilique de Saint-Maximin où reposent les reliques de Marie-Madeleine. À ce qu'on raconte au village, la vieille dame avait découvert un secret dans la crypte. Affabulations ? Crime crapuleux ? Complot religieux ? Le commandant Cosentino n'a cure de la rumeur et pense plier l'enquête en dix jours. Mais ce qu'ignore le flic du SRPJ de Marseille, c'est que nul ne sort indemne du troisième tombeau de la chrétienté, pas même un as pétri de certitudes.
Comment trouve-t-on La Crypte de St-Maximin ?
BC : Vous trouverez le roman (13 € / 299 pages) de trois bonnes façons (sourires) :
En vous rendant dans une librairie. A Trets, allez à la Maison de la Presse Le Sagittaire, place de la gare ; à St-Maximin, rendez-vous à la librairie Le Jardin des Lettres, à deux pas de la basilique.
Par internet sur la boutique des Editions D’un autre ailleurs (frais de port offerts) : http://www.dunautreailleurs.com/boutique/
Ou venez me voir au Château des Remparts, le samedi 17 octobre 2020 de 10 à 17 heures, à l’occasion du Salon des Écrivains de Provence.
Titre : La Crypte de Saint-Maximin
Prix : 13 euros
ISBN : 978-2-490165-06-3
299 pages, format 13 x 19,5 cm
Couverture : quadri vernis sélectif
Éditeur : D'un autre ailleurs (Antibes)
Boulangerie bien connue à Trets et très fréquentée chaque jour, la Boulangerie-Patisserie Fournil de la Gare est surement aujourd'hui la plus ancienne boulangerie de Trets. Reprise en 2014 par Edgar Guevorkian et son épouse, l'établissement emploie aujourd'hui 15 salariés et vient de voir son travail quotidien et la qualité de ses produits récompensés.
En effet la boulangerie vient d'obtenir le Label Boulanger de France catégorie : Boulangerie - pâtisserie artisanale, créé par la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie française, que peu d'établissements ont. Apparemment ils ne sont que 4 dans le département.
Après une vérification du bureau Veritas, où ils ont apporté des réponses positives à tous les points étudiés (pain, viennoiserie, engagement nutritionnel, responsabilité sociale, accueil et accessibilité…) ils ont obtenu ce statut qui en fait une boulangerie pâtisserie 100% artisanal, "où tout est fait sur place par nos artisans boulangers - pâtissiers, sans aucune congélation et surgélation" précise Edgar "Les clients ne savent pas qu'à Trets, il y a une boulangerie pâtisserie qui fait ses croissants, pains au chocolat, pain... maison et pas que... Chez nous contrairement à certains de nos confrères, nos produits ne viennent pas de l'extérieur ! De plus la farine que l'on utilise pour nos pains et pour nos viennoiseries est sans additifs et sans OGM"
En choisissant un Boulanger de France, vous êtes sûr(e) que l’artisan et ses équipes se sont engagés à respecter une charte de qualité exigeant que les produits les plus courants de l’offre boulangère soient fabriqués dans leurs fournils. Boulanger de France est une initiative de la seule organisation professionnelle représentant et défendant pour vous les 33 000 artisans boulangers français : La Confédération Nationale de la Boulangerie-Pâtisserie Française.
Ce qui différencie un artisan "Boulanger de France", c'est le respect des exigences de la marque. Un artisan Boulanger de France est fier de fabriquer ses pains, sa viennoiserie, ses pâtisseries et sa restauration boulangère. La différence est considérable, surtout pour vous consommateurs. Et pourtant, cette différence ne se voit plus clairement depuis la rue. C’est pour cela que la Confédération a écrit une charte de qualité qui s’est transformée en une marque bien reconnaissable : Boulanger de France, née au début de l'année 2020.
Leur label décerné pour deux ans, en ce mois d'octobre 2020 est affiché sur la vitrine depuis ce mercredi.
La boulangerie est ouverte du mercredi au lundi de 6h à 20h non stop, Tel : 04 42 61 41 73
Pendant 3 semaines en septembre, plus de 50 personnes âgées de 10 à 77 ans se sont affrontées dans une ambiance familiale pour trouver la meilleure équipe de touch rugby dans le Haut Val de l'Arc. Chaque jeudi soir, sur fond de musique, pères et fils, mères et filles d'une même équipe se sont affrontés pour remporter leurs 2 matchs. Après 3 semaines et plus de 20 matchs, la finale a été disputée entre deux équipes de Trets - Seb's Trets 1 et Manu's Mob, Seb's Trets 1 remportant la finale par 4 essais contre 2.
"Ce fut un grand championnat avec un bon équilibre entre une atmosphère familiale et des matchs compétitifs", a déclaré Laurent Robinet, président d'Ovalarc Rugby. Le championnat sera organisé deux fois par an, au printemps et à l'automne, dans le but d'initier les gens au jeu du Touch Rugby (sans plaquage).
"Le Touch Rugby est l'un des rares jeux où enfants et adultes peuvent jouer ensemble dans les mêmes équipes et rester compétitifs - c'était un plaisir de jouer aux côtés de mon fils" a déclaré Anton Xavier, entraîneur de Touch Rugby d'Ovalarc un Néo-Zélandais qui habite dans la vallée.
Ovalarc Rugby est le seul club de rugby de la vallée à disposer d'une équipe de rugby Loisir composée de joueurs âgés de 16 à 80 ans. Il a récemment lancé Ovalarc Touch pour offrir une option à ceux qui sont intéressés par le rugby, mais nerveux à l'idée des contacts. Ovalarc a fêté son 10e anniversaire l'année dernière. Le prochain Championnat Touch débutera au printemps, le 25 mars - les portes sont ouvertes à tous pour venir essayer. Si vous souhaitez nous rejoindre les jeudi soir pour nos entrainement régulières (homme, femme, garcon ou fille plus que 10 ans), vous pouvez contacter Anton Xavier (axavier1975@gmail.com ) pour plus d'informations.
TRETS et KIRBON étaient à l'honneur ce mardi 13 octobre 2020 dans le JT de FRANCE3 au 19/20 où ils ont consacré un long reportage à la miellerie de Kirbon appelée aussi Maison du Miel du Jardin d’Abondance dirigée par Marianne ABBA , et sa pratique nouvelle du WOOFING.
Un concept très en vogue depuis déjà plusieurs années où des bénévoles mettent à contribution leur force de travail en échange du gite et du couvert . Ils effectuent ainsi plusieurs
tâches au sein d’une exploitation agricole biologique.
Le woofing est donc une sorte de troc, d’échange légal et proche du couchsurfing pouvant se réaliser partout dans le monde. Il s’agit en fait de bénévolat.
Samedi 10 octobre 2020 POURRIERES a fait un bond 76ans en arrière en revivant en grandeur nature sa LIBERATION puisque le temps d'une journée le réalisateur Lionel Kabak a tourné un court métrage "Un été en Provence" avec une grande reconstitution historique de la libération du 19 août 1944 du village de Pourrières avec l'arrivée des américains saluée par la population. Véhicules d'époques, costumes portés par des dizaines de comédiens bénévoles tout y était et on a hate de découvrir le résultat en images.
Ce court métrage sera présenté à la population à l'occasion des vœux du maire de Pourrières Sébastien Bourlin en janvier.
Vous souhaitez soutenir ce court métrage, participer au devoir de mémoire et les aider à atteindre le montant de la collecte participative ? Alors RDV ici
VAR MATIN ET LA PROVENCE ont réalisé de très beaux reportages sur ce tournage exceptionnel
Photos : I.LO.
VAR MATIN DU 12 OCTOBRE 2020
LA PROVENCE DU 13 OCTOBRE 2020 (Cliquez sur l'article pour mieux lire)
Samedi 10 octobre 2020, le 1er tournoi de la saison en moins de 8 ans et moins de 10 ans devait être organisé à Aix en Provence par le club Provence Rugby ; les conditions sanitaires en vigueur empêchant la tenue de cet événement, c’est le club Alpha Ovalarc qui se proposa d’organiser ce tournoi délocalisé.
Ce ne fut pas moins de 130 enfants des clubs de Vitrolles, La Ciotat/Ceyreste, Provence Rugby et bien sûr d’Alpha Ovalarc qui purent s’adonner à leur sport favori devant leurs parents sagement cantonnés en dehors du terrain.
Les matches se jouèrent dans un esprit très convivial propre au rugby éducatif et nous vîmes de très belles séquences de jeu et un engagement total de la part de chaque équipe.
Les 2 équipes M10 (photo ci contre) d’Alpha termine premières de leurs poules, très satisfaites de leur prestation face à l’ogre Provence Rugby et son énorme école de rugby.
En M8 (photo du haut), l’équipe d’Alpha termine 2eme du tournoi a tenu son rang et n’a pas du tout déméritée.
Un grand merci à tous les bénévoles qui ont assuré une organisation parfaite et ont fait de ce premier tournoi une réussite.
La haine que voue le pont rail SNCF de Trets aux fourgons de livraison a encore frappé et sa méchanceté est toujours aussi forte, une vraie folie destructrice... Ce mardi 13 octobre 2020 sur les coups de 18h10, un beau fourgon de livraison , loué surement quelques minutes auparavant au Carrefour de Trets est ainsi décédé net sur place.
Oubliant totalement le gabarit du véhicule dont il venait de prendre possession, le conducteur qui voulait remonter l'avenue Léo Lagrange a alors heurté violemment le pont de 2.5m.
Résultat son véhicule s'est transformé cette fois non pas en triangle comme souvent mais en Parallélogramme, avec les cotés totalement penchés, l'avant totalement défoncé sur le haut et le tout courbé vers l'avant. Le pont rail lui n'a encore que quelques petites égratignures. Si le chauffeur a réussi à décoincer son engin, les débris jonchant le sol étaient alors très nombreux .... Autant dire que la location va couter chere au conducteur, mais pas besoin de dépanneuse cette fois il a pu regagner le parking de carrefour Market où les dirigeants du magasin ont du être ravis de revoir leur véhicule dans cet état... Ils pourront alors le reconvertir en camion décapotable...
A ce rythme là les tretsois seront véritablement bientôt bannis des loueurs de fourgons dans les environs…. C'est en effet la 12e victime recensée (la 11e serait le 11 aout dernier) depuis son abaissement de 30 centimètres en 2014 (passant de 2.8 à 2.5m), lui qui a fait de nombreuses victimes en tout genre (fourgons, pelleteuse, camion nacelle etc) . L'an passé il commençait à se faire voler la vedette par un concurrent sérieux, les portiques de la gare, mais ces derniers ont fini par abdiquer et sont en permanence ouverts depuis des mois désormais...
Un 13e , fourgon toujours, se l'ait ensuite pris le samedi 24 octobre vers 6h du matin dans le sens inverse cette fois....
Ce Lundi 5 octobre 2020 la municipalité a annoncé un nouveau cas de Coronavirus dans le milieu scolaire tretsois. En effet une ATSEM intervenant sur deux écoles, la Maternelle des Colombes (2h/jour) et l’école Victor Hugo (périscolaire et cantine) ainsi qu’au Centre de Loisirs Edmond Brun, a été testée positive au COVID-19.
Elle est en arrêt de travail depuis vendredi 2 octobre et isolée chez elle, comme le prévoit le protocole sanitaire.
La Mairie s’est mise immédiatement en relation avec les directeurs des deux établissements concernés, l’inspecteur d’académie et le directeur du Centre de Loisirs précise t'elle expliquant que le protocole fixé par le Ministère de la Jeunesse et de l’Éducation Nationale a alors été mis en place.
Les gestes barrières, la distanciation et le port du masque sont strictement respectés par les agents des écoles. Le seul moment où une contagion est possible entre adultes, et donc la suspicion d’un cas contact, est celui des temps de pause.
Les investigations menées par la Municipalité ont révélé que la personne porteuse du virus a partagé un temps de repas avec deux collègues. Malgré le respect des règles de distanciation, la Ville a souhaité, par mesure de précaution, déclarer ces deux agents “cas contact”. Ils sont donc, eux aussi, mis à l’isolement afin d’être testés et ne reprendront le travail qu’en cas de test négatif.
La mairie rappelle enfin que depuis le mois de mai, les agents municipaux reçoivent régulièrement des informations sur l’évolution des différents protocoles sanitaires. Un accompagnement régulier est effectué de manière à garantir le respect des règles au sein des établissements scolaires pour protéger les enfants, les enseignants et les agents municipaux.
► De nouveaux cas dans le milieu scolaire déclarés ce mercredi 7 octobre
La mairie continue d'être transparente et annonce ce mercredi après midi de nouveaux cas
Un nouveau cas de COVID-19 a été déclaré ce jour au sein des agents des écoles.
La personne testée positive intervient sur l’école Edmond BRUN dans le cadre de la cantine et de l’entretien des locaux.
En arrêt de travail et isolée depuis lundi 5 octobre, elle a reçu les résultats de son test PCR ce jour, mercredi 7 octobre.
3 agents de l’école Edmond Brun “cas contact” ont été déclarés à l’Agence Régionale de Santé (ARS). Ces 3 personnes ont été placées à l’isolement et doivent faire un test PCR demain, jeudi 8 octobre. Elles ne reprendront leur activité qu’en cas de test négatif.
Par ailleurs, l’enseignante de grande section de l’école maternelle Les Colombes, en arrêt de travail et isolée depuis lundi, a reçu ce jour, mercredi 7 octobre, le résultat positif de son test PCR.
Concernant le protocole à tenir pour cet établissement scolaire, nous sommes dans l’attente des consignes de l’ARS.
Nous vous tiendrons informés dans la journée.
► Les enseignants et les enfants n’étant pas considérés par l’ARS comme “cas contact”, l’Éducation nationale a informé la mairie ce mercredi soir que l’école des Colombes reste ouverte.
► Ce Lundi 12 octobre 2020 la mairie annonce que sur les 5 agents des écoles déclarés “cas contact” et testés la semaine dernière, 4 tests sont revenus négatifs et 1 test reste en attente de résultat.
Un des deux agents testés positifs reprendra le travail mercredi 14 octobre 2020. En effet, il a été testé négatif depuis et pourra donc reprendre ses activités.
Pour le moment, le deuxième agent reste à l’isolement jusqu’à la fin des symptômes.
L’ensemble des agents de l’école des Colombes ont été testés vendredi et tous les résultats sont revenus négatifs ce jour.
► Bonne nouvelle selon les informations dont elle dispose la Mairie a annoncé ce mardi 13 octobre qu'il n’y a plus aucune suspicion de COVID dans le personnel des écoles de Trets ! En effet le 4ème agent des écoles, dont on attendait les résultats du test PCR, est négatif au COVID-19 et a repris donc le travail ce mardi.
Les accidents sur la Montagne Sainte Victoire sont malheureusement courants, suite à des erreurs des marcheurs ou grimpeurs, mais celui qui s'est produit ce dimanche 11 octobre 2020 est assez rare, puisque c'est la montagne elle même qui a blessé un grimpeur.... Autant dire que la prudence s'impose sur la Montagne.
Un grimpeur blessé dans Sainte Victoire Dans le massif de Sainte-Victoire, l'arête du grand couloir fait partie des incontournables pour les amoureux de l'escalade. Depuis le refuge Baudino à Saint-Antonin-sur-Bayon, le secteur offre de longues voies qui débouchent sur la crête de la montagne. Ce dimanche matin, c'est à l'une d'elles qu'un petit groupe avait choisi de se frotter. Des pratiquants déjà chevronnés pour s'aventurer à l'assaut de ces blocs non équipés où les grimpeurs doivent poser leur propre matériel pour s'assurer.
Dans la matinée, alors qu'ils étaient encore au pied de la montagne, un caillou de 50 cm de diamètre s'est détaché de la paroi un peu plus haut et a percuté un des jeunes grimpeurs, âgé de 25 ans, au niveau de la tête. Sérieusement touché, mais encore conscient. Surplace, plusieurs unités du Groupe de reconnaissance et d'intervention en milieux périlleux (Grimp) sont intervenues dans ce relief accidenté pour lui porter assistance. Au vu de son état, un hélicoptère de la Sécurité civile de l'Hérault a été engagé afin d'évacuer le blessé pour l'acheminer vers l'hôpital Nord de Marseille où il a été pris en charge. Ses jours ne sont pas en danger.
Pour les sapeurs pompiers d'Aix, ce type d'événement devient de plus en plus fréquent dans ces secteurs où les voies sont référencées mais pas sécurisées. "Jusqu'à présent c'était des accidents assez rares mais avec la croissance de l'activité d'escalade, on y est de plus en plus confronté", observe l'un des chefs d'unité de Grimp, intervenus hier matin pour porter secours à la victime.
LA PROVENCE 12 OCTOBRE 2020 par R.Ct.
Photo d'archives GRIMP13